Au cours des assises de Bangui, les experts venus des dix pays membres vont faire le bilan des activités de la COMIFAC avec les partenaires, élaborer le projet de budget de la COMIFAC, voir l’état d’avancement des initiatives sur les financements pour la conservation et lA gestion durable des écosystèmes forestiers de l’Afrique Centrale.
Il s’agira également d’étudier les questions liées à la contribution de redevance forestière dans le développement socio-économique et politique du bassin du Congo ; l’accord sous régional sur le contrôle forestier en Afrique Centrale et la feuille de route pour l’harmonisation des politiques forestières ainsi qu’un programme d’action de lutte contre la dégradation des terres et de la désertification.
« La rencontre de Bangui permettra aux parties prenantes d’apprécier les actions menées par la COMIFAC depuis les assises de Malabo en Guinée Equatoriale et d’examiner les plans d’action pour les prochaines biennales et autres sujets prioritaires », a déclaré le Secrétaire exécutif de la COMIFAC, M. Jonas Na Gahuedi Mbongu Sodi.
« La tenue de la 5ème session ordinaire du Conseil des ministres de la COMIFAC est le couronnement de l’effort constant que la République Centrafricaine n’a cessé de déployer, de concert avec les autres pays d’Afrique centrale, pour trouver les voies et moyens de gérer rationnellement les ressources forestières et fauniques », a déclaré Mme Mboissona à l’ouverture des travaux.
« Le gouvernement s’engage à appliquer les recommandations qui sortiront des présentes assises dans le cadre de l’exercice de sa présidence de la COMIFAC », a indiqué Mme Mboissona.
Pour mémoire, l’écosystème forestier d’Afrique Centrale renferme une diversité biologique remarquable. Cet écosystème comporte le bassin du Congo qui constitue le deuxième vaste massif forestier tropical du monde après celui de l’Amazonie.
Il s’agira également d’étudier les questions liées à la contribution de redevance forestière dans le développement socio-économique et politique du bassin du Congo ; l’accord sous régional sur le contrôle forestier en Afrique Centrale et la feuille de route pour l’harmonisation des politiques forestières ainsi qu’un programme d’action de lutte contre la dégradation des terres et de la désertification.
« La rencontre de Bangui permettra aux parties prenantes d’apprécier les actions menées par la COMIFAC depuis les assises de Malabo en Guinée Equatoriale et d’examiner les plans d’action pour les prochaines biennales et autres sujets prioritaires », a déclaré le Secrétaire exécutif de la COMIFAC, M. Jonas Na Gahuedi Mbongu Sodi.
« La tenue de la 5ème session ordinaire du Conseil des ministres de la COMIFAC est le couronnement de l’effort constant que la République Centrafricaine n’a cessé de déployer, de concert avec les autres pays d’Afrique centrale, pour trouver les voies et moyens de gérer rationnellement les ressources forestières et fauniques », a déclaré Mme Mboissona à l’ouverture des travaux.
« Le gouvernement s’engage à appliquer les recommandations qui sortiront des présentes assises dans le cadre de l’exercice de sa présidence de la COMIFAC », a indiqué Mme Mboissona.
Pour mémoire, l’écosystème forestier d’Afrique Centrale renferme une diversité biologique remarquable. Cet écosystème comporte le bassin du Congo qui constitue le deuxième vaste massif forestier tropical du monde après celui de l’Amazonie.