« Nous avons décidé de surseoir à cette opération tout en continuant les consultations », a déclaré François Bozizé dans un discours prononcé devant le gouvernement et le corps diplomatique réunis au palais présidentiel à l’occasion de la célébration du deuxième anniversaire de son investiture comme président élu de la République Centrafricaine.
Dans une conférence de presse à laquelle prenait part une quinzaine de journalistes des médias nationaux et internationaux, le chef de l’Etat centrafricain a justifié le retrait de ce projet par le désaccord des institutions financières internationales qui estiment trop élevé le taux d’intérêt de 8% retenu pour cette opération.
Abordant les questions politiques, le président de la République s’est déclaré toujours favorable au dialogue au dialogue, qui devrait, selon lui, regrouper au tour d’une table les fils de Centrafrique pour une solution durable et pour le développement du pays.
« Je demeure ouvert à toute approche, toute suggestion qui permettrait à la grande famille centrafricaine de se retrouver », a-t-il affirmé, relevant toutefois que le dialogue devait selon lui se faire « sans hâte ni précipitation ».
« Le problème de la sécurité et le problème de la rébellion doivent être l’affaire de tous les centrafricains », a encore déclaré François Bozizé, qui a invité les hommes politiques des zones affectées à s’y rendre afin de convaincre les populations et les rebelles des méfaits de ce phénomène.
Il a lancé un appel à la communauté internationale, invitée à donner une bouffée d’oxygène à la République Centrafricaine car, a-t-il expliqué, « le gouvernement fait de son mieux, mais l’héritage du passé est lourd ».
Dans une conférence de presse à laquelle prenait part une quinzaine de journalistes des médias nationaux et internationaux, le chef de l’Etat centrafricain a justifié le retrait de ce projet par le désaccord des institutions financières internationales qui estiment trop élevé le taux d’intérêt de 8% retenu pour cette opération.
Abordant les questions politiques, le président de la République s’est déclaré toujours favorable au dialogue au dialogue, qui devrait, selon lui, regrouper au tour d’une table les fils de Centrafrique pour une solution durable et pour le développement du pays.
« Je demeure ouvert à toute approche, toute suggestion qui permettrait à la grande famille centrafricaine de se retrouver », a-t-il affirmé, relevant toutefois que le dialogue devait selon lui se faire « sans hâte ni précipitation ».
« Le problème de la sécurité et le problème de la rébellion doivent être l’affaire de tous les centrafricains », a encore déclaré François Bozizé, qui a invité les hommes politiques des zones affectées à s’y rendre afin de convaincre les populations et les rebelles des méfaits de ce phénomène.
Il a lancé un appel à la communauté internationale, invitée à donner une bouffée d’oxygène à la République Centrafricaine car, a-t-il expliqué, « le gouvernement fait de son mieux, mais l’héritage du passé est lourd ».