Cette déclaration a été faite à l’occasion d’un meeting organisé par la mission de sensibilisation du comité de suivi des recommandations du Dialogue Politique Inclusif (CSRDPI) à la Mairie d’Alindao, en présence du sous-préfet, Saint Sylvain Blindépou.
« Mon choix à la tête de cette entité est la marque de confiance que les gens placent aux hommes d’Eglise. Parce qu’ils pensent qu’ils ont l’impartialité, une manière objective de voir les choses pour pouvoir aider les autres à travailler dans la sincérité, dans l’honnêteté et aussi dans le respect mutuel », a-t-il fait remarquer.
« Nous allons garder notre neutralité pour pouvoir observer les autorités de notre pays et de les aider dans la gestion de la chose commune par nos critiques objectives », a-t-il promis.
La CEI local d’Alindao a cependant exprimé sa préoccupation pour le manque de moyens financiers nécessaires à l’accomplissement de sa mission, notamment la révision de la liste électorale, une des conditions essentielles à la réussite des prochaines élections.
Au cours de ce meeting, les échanges ont porté sur la préparation des élections législatives et ses corollaires qui sont notamment, la question de la vulgarisation du code électoral et la révision de la liste électorale qui accuse du retard, malgré la disponibilité des membres de la CEI locale.
Dans son mot à la population, le vice président du comité de suivi des recommandations du Dialogue Politique Inclusif, Pascal Koyaméné, a insisté sur le consensus dans le travail comme facteur de paix sociale.
La mission est depuis dimanche 4 avril à Mobaye, chef-lieu de la préfecture de la Basse-Kotto, pour la suite de la campagne de sensibilisation sur les recommandations phares du DPI.
Cette mission de la zone du sud-est du pays va couvrir quatre préfectures, notamment la Ouaka, la Basse-Kotto, le Mbomou et le Haut-Mbomou.
« Mon choix à la tête de cette entité est la marque de confiance que les gens placent aux hommes d’Eglise. Parce qu’ils pensent qu’ils ont l’impartialité, une manière objective de voir les choses pour pouvoir aider les autres à travailler dans la sincérité, dans l’honnêteté et aussi dans le respect mutuel », a-t-il fait remarquer.
« Nous allons garder notre neutralité pour pouvoir observer les autorités de notre pays et de les aider dans la gestion de la chose commune par nos critiques objectives », a-t-il promis.
La CEI local d’Alindao a cependant exprimé sa préoccupation pour le manque de moyens financiers nécessaires à l’accomplissement de sa mission, notamment la révision de la liste électorale, une des conditions essentielles à la réussite des prochaines élections.
Au cours de ce meeting, les échanges ont porté sur la préparation des élections législatives et ses corollaires qui sont notamment, la question de la vulgarisation du code électoral et la révision de la liste électorale qui accuse du retard, malgré la disponibilité des membres de la CEI locale.
Dans son mot à la population, le vice président du comité de suivi des recommandations du Dialogue Politique Inclusif, Pascal Koyaméné, a insisté sur le consensus dans le travail comme facteur de paix sociale.
La mission est depuis dimanche 4 avril à Mobaye, chef-lieu de la préfecture de la Basse-Kotto, pour la suite de la campagne de sensibilisation sur les recommandations phares du DPI.
Cette mission de la zone du sud-est du pays va couvrir quatre préfectures, notamment la Ouaka, la Basse-Kotto, le Mbomou et le Haut-Mbomou.