POLITIQUE
L’intérêt de cette rencontre de travail est de rappeler la stricte application des arrêtés qui ont été pris, dont l'un crée le centre de lutte contre la fraude de la télécommunication et l’autre fixe la destination Centrafrique à 130 francs CFA, a souligné M. Maléyombo.
« Depuis que la République Centrafricaine a connu le téléphone portable jusqu’aujourd’hui, nous n’avons eu aucun moyen de contrôler le volume du trafic, puisque c’est sur le volume du trafic que le chiffre d’affaires est déclaré, que les impôts sont perçus et les différentes taxes, il y a un manque à gagner énorme pour l’Etat et pour le trésor public », a-t-il relevé.
« La structure de lutte contre n’est pas seulement dans l’intérêt de l’Etat, c’est également dans l’intérêt des opérateurs de téléphonie mobile car il y a des gens qui n’ont jamais une quelconque licence, qui n’ont jamais reçu l’autorisation, mais qui exploitent le réseau de télécommunication en République Centrafricaine, et aujourd’hui, avec ce centre, nous seront en mesure de détecter toutes les fraudes de la télécommunication », a-t-il expliqué.
Le ministre des Postes et Télécommunications a déploré le comportement des opérateurs de téléphonie mobile qui ne respectent les textes officiels de la Centrafrique et a interpellé les responsables des sociétés de téléphonie mobile, qio ont unanimement salué la création du centre de lutte contre la fraude de la télécommunication en Centrafrique.
Il faut signaler que le ministre délégué aux Finances et au Budget, chargé de la mobilisation des ressources, M, Abdallah Kadre, et le représentant du Haut Conseil de la Communication, M. Joseph Vermond Tchiéndo prenaient part à la réunion.
« Depuis que la République Centrafricaine a connu le téléphone portable jusqu’aujourd’hui, nous n’avons eu aucun moyen de contrôler le volume du trafic, puisque c’est sur le volume du trafic que le chiffre d’affaires est déclaré, que les impôts sont perçus et les différentes taxes, il y a un manque à gagner énorme pour l’Etat et pour le trésor public », a-t-il relevé.
« La structure de lutte contre n’est pas seulement dans l’intérêt de l’Etat, c’est également dans l’intérêt des opérateurs de téléphonie mobile car il y a des gens qui n’ont jamais une quelconque licence, qui n’ont jamais reçu l’autorisation, mais qui exploitent le réseau de télécommunication en République Centrafricaine, et aujourd’hui, avec ce centre, nous seront en mesure de détecter toutes les fraudes de la télécommunication », a-t-il expliqué.
Le ministre des Postes et Télécommunications a déploré le comportement des opérateurs de téléphonie mobile qui ne respectent les textes officiels de la Centrafrique et a interpellé les responsables des sociétés de téléphonie mobile, qio ont unanimement salué la création du centre de lutte contre la fraude de la télécommunication en Centrafrique.
Il faut signaler que le ministre délégué aux Finances et au Budget, chargé de la mobilisation des ressources, M, Abdallah Kadre, et le représentant du Haut Conseil de la Communication, M. Joseph Vermond Tchiéndo prenaient part à la réunion.
