POLITIQUE
une trentaine de jeunes gens déploient une banderole devant la maison de Radio Centrafrique (photo Koutou/Acap)
Cette déclaration a été faite à l’occasion de la Journée internationale de la paix, célébrée dans l’enceinte de Radio Centrafrique sous le thème « Nous devons désarmer », en présence de la Représente spéciale du Secrétaire général des Nations Unies en Centrafrique, M. Sahle Work-Zewde et du ministre délégué à la Défense, M. Jean Francis Bozizé.
Pour M. Gonda, le thème retenu par le Secrétaire général des Nations Unies s’intègre parfaitement dans la dynamique de paix initiée par le Président de la République François Bozizé, rappelant les différentes étapes du processus de paix en Centrafrique, dont le Dialogue Politique Inclusif (DPI) et le lancement du programme de Démobilisation, Désarmement et Réinsertion (DDR) des ex-rebelles.
« Le gouvernement, sur la base de plusieurs documents, s’est déjà impliqué dans le processus du désarmement. Les politico-militaires se sont engagés et veulent aller promptement au désarmement. Les civils ne souhaitent que le désarmement. Ainsi donc, allons tous au désarmement avec un cœur et un esprit sereins », a-t-il affirmé.
« Les Centrafricains ont beaucoup souffert et n’aspirent qu’à vivre en paix. Si nous y croyons, alors nous devenons des hommes et des femmes épris de paix et nous pouvons faire avancer pratiquement le processus », a souligné le ministre d’Etat.
Pour lui, il faut « aller dans un temps raisonnable au désarmement pour éviter toute frustration, en tenant compte des préoccupations de chaque partie, car la meilleure étude socio-économique est de se rendre vers les ex-rebelles, échanger avec ces catégories de personnes afin d’identifier les vrais problèmes pour y apporter les solutions authentiques ».
Il a conclu en louant la bonne coopération existant entre la RCA et le Bureau de l’Organisations des Nations Unies en Centrafrique (BONUCA) et a sollicité davantage d’appui de cette institution ainsi que des autres partenaires pour la consolidation de la paix en République Centrafricaine.
La Représente Spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies en Centrafrique, M. Sahle Work-Zewde, a pour sa part insisté sur l’importance de la culture de la paix en louant l’initiative du gouvernement de mettre en place des antennes de réconciliation nationale à travers tout le pays.
Elle a part la même occasion remis "Le Guide du Délégué et du Chef d'antenne de la Réconciliation nationale" au gouvernement. Il s'agit d'un manuel qui donne les grandes orientations pouvant permettre une bonne conduite des camapagnes de sensibilisation sur la culture de la paix et la réconciliation.
Selon Mme M. Sahle Work-Zewde, « la culture de la paix vise à promouvoir les valeurs, attitudes et comportements tendant à rechercher des solutions pacifiques aux problèmes.
« La nouvelle société centrafricaine réconciliée avec elle-même devra vivre dans la paix, la concorde et l’unité, indispensables à son développement et à son mieux-être. Car il ‘n’y pas d’autres alternatives », a-t-elle déclaré avant de réaffirmer l’engagement du BONUCA à appuyer l’action de consolidation de la paix en République Centrafricaine.
Il convient de rappeler que la Journée internationale de la paix a été instituée en 2001 par l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies dans sa résolution 55/282 et est célébrée le 21 septembre de chaque année.
Selon les Nation Unies, cette journée est observée comme une journée mondiale de cessez-le-feu et de non violence.
Les autorités centrafricaines ont décidé, de concert avec le BONUCA, de célébrer par anticipation cette journée qui coïncide, cette année, la fête de la rupture du jeûne du ramadan.
Pour M. Gonda, le thème retenu par le Secrétaire général des Nations Unies s’intègre parfaitement dans la dynamique de paix initiée par le Président de la République François Bozizé, rappelant les différentes étapes du processus de paix en Centrafrique, dont le Dialogue Politique Inclusif (DPI) et le lancement du programme de Démobilisation, Désarmement et Réinsertion (DDR) des ex-rebelles.
« Le gouvernement, sur la base de plusieurs documents, s’est déjà impliqué dans le processus du désarmement. Les politico-militaires se sont engagés et veulent aller promptement au désarmement. Les civils ne souhaitent que le désarmement. Ainsi donc, allons tous au désarmement avec un cœur et un esprit sereins », a-t-il affirmé.
« Les Centrafricains ont beaucoup souffert et n’aspirent qu’à vivre en paix. Si nous y croyons, alors nous devenons des hommes et des femmes épris de paix et nous pouvons faire avancer pratiquement le processus », a souligné le ministre d’Etat.
Pour lui, il faut « aller dans un temps raisonnable au désarmement pour éviter toute frustration, en tenant compte des préoccupations de chaque partie, car la meilleure étude socio-économique est de se rendre vers les ex-rebelles, échanger avec ces catégories de personnes afin d’identifier les vrais problèmes pour y apporter les solutions authentiques ».
Il a conclu en louant la bonne coopération existant entre la RCA et le Bureau de l’Organisations des Nations Unies en Centrafrique (BONUCA) et a sollicité davantage d’appui de cette institution ainsi que des autres partenaires pour la consolidation de la paix en République Centrafricaine.
La Représente Spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies en Centrafrique, M. Sahle Work-Zewde, a pour sa part insisté sur l’importance de la culture de la paix en louant l’initiative du gouvernement de mettre en place des antennes de réconciliation nationale à travers tout le pays.
Elle a part la même occasion remis "Le Guide du Délégué et du Chef d'antenne de la Réconciliation nationale" au gouvernement. Il s'agit d'un manuel qui donne les grandes orientations pouvant permettre une bonne conduite des camapagnes de sensibilisation sur la culture de la paix et la réconciliation.
Selon Mme M. Sahle Work-Zewde, « la culture de la paix vise à promouvoir les valeurs, attitudes et comportements tendant à rechercher des solutions pacifiques aux problèmes.
« La nouvelle société centrafricaine réconciliée avec elle-même devra vivre dans la paix, la concorde et l’unité, indispensables à son développement et à son mieux-être. Car il ‘n’y pas d’autres alternatives », a-t-elle déclaré avant de réaffirmer l’engagement du BONUCA à appuyer l’action de consolidation de la paix en République Centrafricaine.
Il convient de rappeler que la Journée internationale de la paix a été instituée en 2001 par l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies dans sa résolution 55/282 et est célébrée le 21 septembre de chaque année.
Selon les Nation Unies, cette journée est observée comme une journée mondiale de cessez-le-feu et de non violence.
Les autorités centrafricaines ont décidé, de concert avec le BONUCA, de célébrer par anticipation cette journée qui coïncide, cette année, la fête de la rupture du jeûne du ramadan.
