POLITIQUE
Il s’agit de convaincre les décideurs de la nécessité de promouvoir les considérations du Genre au plan national, d’amener les parlementaires à adopter des lois en tenant compte des intérêts des femmes et des minorités sociales, d’inciter les membres du Conseil Economiques et Social à rendre les programmes de développement sensibles aux besoins vitaux et stratégiques des femmes et des minorités sociales et enfin d’attirer l’attention des autorités sur la nécessité de produire le rapport national sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes exigé par les Nations Unies.
La Représentante du FNUAP a indiqué que le système des Nations Unies est disposé à soutenir la République Centrafricaine dans ses efforts pour la promotion de la femme.
« L’égalité entre les femmes et les filles est également un impératif économique et social. Tant qu’elles n’auron pas été libérées de la pauvreté et de l’injustice, la réalisation de tous nos objectifs, notamment la paix, la sécurité, le développement durable sera aléatoire », a-t-elle ajouté.
Selon elle, l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes sont essentielles pour que l’Organisations des Nations Unies (ONU) puisse mener à bien sa mission consistant à instaurer l’égalité des droits et la dignité pour tous dans le monde », a-t-elle ajouté.
Elle a par ailleurs souligné que malgré les progrès dus en large partie aux efforts déterminés des organisations de la société civile, il reste encore beaucoup à faire. La mortalité maternelle reste à un niveau inacceptable, trop peu de femmes ont accès à la planification familiale et la violence contre les femmes est toujours motif de honte dans le monde. En particulier, la violence sexuelle lors des conflits est généralisée.
« Bientôt il y aura au sein du système des Nations Unies une nouvelle entité dynamique, qui assurera une plus grande cohérence des programmes et fera plus fortement entendre les voix en faveur de l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes », a-t-elle annoncé.
Il convient de signaler que, après les deux présentations sur la situation des femmes à travers le monde et en République Centrafricaine, des témoignages ont été faits par Rabba-Babou, Bitep Aurélie et Koti Pauline, respectivement représentantes des minorités, Peuhls, Albi nos et Pygmées, ces trois filles ont à tour de rôle expliqué la difficulté d’accès de leurs communautés respectives aux soins, à l’éducation et la marginalisation de leurs communautés par les autres populations.
Pour Mme Bernadette Sayo, l’implication des femmes et filles de la nation à l’œuvre de la reconstruction garantit à coup sûr la réussite dans toutes les actions de développement.
Par conséquent, le gouvernement a ratifié beaucoup de conventions à l’égard des femmes et le respect de ces positions communes constitue d’une part un cadre pour un partenariat fructueux entre elle-même et la communauté internationale sans laquelle elle ne peut faire grand chose et d’autre part un gage pour un développement harmonieux.
Mme Sayo a également réitéré le soutien du gouvernement pour la promotion de la femme centrafricaine.
Mme Monique Bozizé a rassuré les femmes centrafricaines qu’elle portera leurs voix aux autorités suprêmes afin que la femme soit représentée dans les instances des grandes décisions et les a exhortées à « ensemble lutter pour avoir une place parmi les décideurs », a-t-elle complété.
Il convient de rappeler que cette activité placée sous le parrainage de la première dame de Centrafrique est une initiative du groupe thématique « Genre et Développement » du système des Nations Unies.
La Représentante du FNUAP a indiqué que le système des Nations Unies est disposé à soutenir la République Centrafricaine dans ses efforts pour la promotion de la femme.
« L’égalité entre les femmes et les filles est également un impératif économique et social. Tant qu’elles n’auron pas été libérées de la pauvreté et de l’injustice, la réalisation de tous nos objectifs, notamment la paix, la sécurité, le développement durable sera aléatoire », a-t-elle ajouté.
Selon elle, l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes sont essentielles pour que l’Organisations des Nations Unies (ONU) puisse mener à bien sa mission consistant à instaurer l’égalité des droits et la dignité pour tous dans le monde », a-t-elle ajouté.
Elle a par ailleurs souligné que malgré les progrès dus en large partie aux efforts déterminés des organisations de la société civile, il reste encore beaucoup à faire. La mortalité maternelle reste à un niveau inacceptable, trop peu de femmes ont accès à la planification familiale et la violence contre les femmes est toujours motif de honte dans le monde. En particulier, la violence sexuelle lors des conflits est généralisée.
« Bientôt il y aura au sein du système des Nations Unies une nouvelle entité dynamique, qui assurera une plus grande cohérence des programmes et fera plus fortement entendre les voix en faveur de l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes », a-t-elle annoncé.
Il convient de signaler que, après les deux présentations sur la situation des femmes à travers le monde et en République Centrafricaine, des témoignages ont été faits par Rabba-Babou, Bitep Aurélie et Koti Pauline, respectivement représentantes des minorités, Peuhls, Albi nos et Pygmées, ces trois filles ont à tour de rôle expliqué la difficulté d’accès de leurs communautés respectives aux soins, à l’éducation et la marginalisation de leurs communautés par les autres populations.
Pour Mme Bernadette Sayo, l’implication des femmes et filles de la nation à l’œuvre de la reconstruction garantit à coup sûr la réussite dans toutes les actions de développement.
Par conséquent, le gouvernement a ratifié beaucoup de conventions à l’égard des femmes et le respect de ces positions communes constitue d’une part un cadre pour un partenariat fructueux entre elle-même et la communauté internationale sans laquelle elle ne peut faire grand chose et d’autre part un gage pour un développement harmonieux.
Mme Sayo a également réitéré le soutien du gouvernement pour la promotion de la femme centrafricaine.
Mme Monique Bozizé a rassuré les femmes centrafricaines qu’elle portera leurs voix aux autorités suprêmes afin que la femme soit représentée dans les instances des grandes décisions et les a exhortées à « ensemble lutter pour avoir une place parmi les décideurs », a-t-elle complété.
Il convient de rappeler que cette activité placée sous le parrainage de la première dame de Centrafrique est une initiative du groupe thématique « Genre et Développement » du système des Nations Unies.
