L’Aide Budgétaire Globale française de plus de 13 milliards de FCFA permettra à la Commission de la CEMAC de financer les études de faisabilité des projets et leur amélioration et à la BDEAC de financer les projets et programmes d’intégration régionale, avec des prêts concessionnels, des bonifications de taux d’intérêt et des subventions », a précisé le représentant de l’AFD, Hugues Marion.
Le président de la BDEAC a estimé que cette aide permettra à son institution d’élargir son périmètre d’intervention et de remplir pleinement sa mission dans le cadre du Programme Economique Régional, aux cotés de la commission CEMAC.
« Pour l’année 2012, la BDEAC prévoit de donner davantage de visibilité à l’Aide Budgétaire Globale française dans nos Etats, en participant au financement des principaux corridors routiers de la CEMAC, favorisant ainsi l’intégration sous régionale », a-t-il poursuivi.
Michael Adandé a par ailleurs souligné que la seconde tranche de l’ABG française vient à point nommé, pour permettre tout à la fois de poursuivre les initiatives en cours et d’accompagner les investissements, les formations et le renforcement des cadres juridiques et des systèmes d’information des projets porteurs.
Il convient de rappeler que la présente aide budgétaire globale fait suite à un premier octroi en 2010, de 30 millions euros, soit plus de 20 milliards francs CFA dont la signature est intervenue à Paris en France en octobre 2010.
Le président de la BDEAC a estimé que cette aide permettra à son institution d’élargir son périmètre d’intervention et de remplir pleinement sa mission dans le cadre du Programme Economique Régional, aux cotés de la commission CEMAC.
« Pour l’année 2012, la BDEAC prévoit de donner davantage de visibilité à l’Aide Budgétaire Globale française dans nos Etats, en participant au financement des principaux corridors routiers de la CEMAC, favorisant ainsi l’intégration sous régionale », a-t-il poursuivi.
Michael Adandé a par ailleurs souligné que la seconde tranche de l’ABG française vient à point nommé, pour permettre tout à la fois de poursuivre les initiatives en cours et d’accompagner les investissements, les formations et le renforcement des cadres juridiques et des systèmes d’information des projets porteurs.
Il convient de rappeler que la présente aide budgétaire globale fait suite à un premier octroi en 2010, de 30 millions euros, soit plus de 20 milliards francs CFA dont la signature est intervenue à Paris en France en octobre 2010.