Il s’agit des agences onusiennes telles que le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) et du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF).
Ce financement est affecté à différents domaines d’intervention de ces agences, entre autre la gouvernance et la prévention des crises, le programme de réduction de la pauvreté et la gestion durable de l’environnement, le programme de suivi et de développement de l’enfant, le programme d’éducation de base, le programme plaidoyer, politique et partenariat par les enfants, la santé de reproduction, genre et population, développement et VIH/sida.
Le Représentant résident de l’UNFPA, M. Essan Niongoran, a déclaré au nom des autres agences que l’acte ne va pas s’arrêter à la signature des PTA, mais va aussi ouvrir la voie à la bonne gouvernance, à la coopération et une étroite collaboration dans la gestion et l’exécution des activités des PTA et du programme de réduction de la pauvreté du gouvernement.
« Nous avons un défi de taille à relever ensemble, à savoir le défi de l’exécution qui passe par le développement des capacités nationales et de la justification des avances de fonds mis à disposition par nos agences pour la mise en œuvre des PTA », a indiqué M. Niongoran.
« Nous devons relever le défi assez rapidement, car les PTA que nous signons ce matin combinent à la fois les programmes de développement et les programmes humanitaires et d’urgence qui ne sauraient souffrir de retard dans leur exécution », a-t-il précisé.
Le ministre d’Etat au plan Sylvain Maliko a pour sa part indiqué que « les programmes que nous allons mettre en œuvre doivent être ciblés, leur exécution bien donnée pour que nous obtenions une plus grande efficacité de ces appuis ».
Selon lui, l’exécution des PTA doit s’observer dans tout le pays avec des projets touchant directement aux conditions de vie des populations et à travers la mise en place d’un dispositif de suivi efficace.
Plusieurs membres du gouvernement ont pris part à cette rencontre, entre autres le ministre de la Jeunesse, Aurélien Simplice Zingas, le ministre de la Santé publique André Nalké Dorogo, tandis que le PNUD et l’UNICEF ont été représentés par leurs représentants résidents respectifs, à savoir MM. Steven Ursino et Mahimbo Mdoe.
Ce financement est affecté à différents domaines d’intervention de ces agences, entre autre la gouvernance et la prévention des crises, le programme de réduction de la pauvreté et la gestion durable de l’environnement, le programme de suivi et de développement de l’enfant, le programme d’éducation de base, le programme plaidoyer, politique et partenariat par les enfants, la santé de reproduction, genre et population, développement et VIH/sida.
Le Représentant résident de l’UNFPA, M. Essan Niongoran, a déclaré au nom des autres agences que l’acte ne va pas s’arrêter à la signature des PTA, mais va aussi ouvrir la voie à la bonne gouvernance, à la coopération et une étroite collaboration dans la gestion et l’exécution des activités des PTA et du programme de réduction de la pauvreté du gouvernement.
« Nous avons un défi de taille à relever ensemble, à savoir le défi de l’exécution qui passe par le développement des capacités nationales et de la justification des avances de fonds mis à disposition par nos agences pour la mise en œuvre des PTA », a indiqué M. Niongoran.
« Nous devons relever le défi assez rapidement, car les PTA que nous signons ce matin combinent à la fois les programmes de développement et les programmes humanitaires et d’urgence qui ne sauraient souffrir de retard dans leur exécution », a-t-il précisé.
Le ministre d’Etat au plan Sylvain Maliko a pour sa part indiqué que « les programmes que nous allons mettre en œuvre doivent être ciblés, leur exécution bien donnée pour que nous obtenions une plus grande efficacité de ces appuis ».
Selon lui, l’exécution des PTA doit s’observer dans tout le pays avec des projets touchant directement aux conditions de vie des populations et à travers la mise en place d’un dispositif de suivi efficace.
Plusieurs membres du gouvernement ont pris part à cette rencontre, entre autres le ministre de la Jeunesse, Aurélien Simplice Zingas, le ministre de la Santé publique André Nalké Dorogo, tandis que le PNUD et l’UNICEF ont été représentés par leurs représentants résidents respectifs, à savoir MM. Steven Ursino et Mahimbo Mdoe.