M. Ndagano Mangokubé a fait l’historique de la journée de 30 juin 1960 et a indiqué que « cette journée représente un jour symbolique en chœur avec tous les combattants de la liberté, les héros nationaux qui ont payé jusqu’au prix de leur vie avec toutes les institutions de la République Démocratique de Congo ».
Il a remercié le gouvernement centrafricain pour la réouverture de la frontière entre les deux pays, fermée au lendemain des événements du 15 mars 2003 à Bangui. « Cette réouverture a été accueillie comme un ouf de soulagement et un signal fort dans nos rapports de coopération et surtout dans les fief des populations congolaises de la province de l’Equateur qui partagent la même histoire avec les Centrafricains, unis par des liens séculiers d’échanges dans tous les domaines ».
Une sœur catholique de nationalité congolaise résidant en Centrafrique, Béatrice Tazo, a exprimé sa joie du fait que la République Démocratique du Congo entretient des relations amicales avec la République Centrafricaine.
« La RDC et la RCA sont deux pays qui partagent les mêmes origines et la même histoire. Ici, nous ne sommes pas des étrangers, nous parlons les mêmes langues, c’est seulement le fleuve qui nous sépare », a-t-elle souligné, témoignant ainsi de l’hospitalité centrafricaine.
Il a remercié le gouvernement centrafricain pour la réouverture de la frontière entre les deux pays, fermée au lendemain des événements du 15 mars 2003 à Bangui. « Cette réouverture a été accueillie comme un ouf de soulagement et un signal fort dans nos rapports de coopération et surtout dans les fief des populations congolaises de la province de l’Equateur qui partagent la même histoire avec les Centrafricains, unis par des liens séculiers d’échanges dans tous les domaines ».
Une sœur catholique de nationalité congolaise résidant en Centrafrique, Béatrice Tazo, a exprimé sa joie du fait que la République Démocratique du Congo entretient des relations amicales avec la République Centrafricaine.
« La RDC et la RCA sont deux pays qui partagent les mêmes origines et la même histoire. Ici, nous ne sommes pas des étrangers, nous parlons les mêmes langues, c’est seulement le fleuve qui nous sépare », a-t-elle souligné, témoignant ainsi de l’hospitalité centrafricaine.