Dans son intervention, M. Bruno Geddo a expliqué que l’année 2007-2008 a été « une année intense », car elle a permis l’achèvement du rapatriement volontaire des réfugiés soudanais et congolais des sites de Mboki dans l’Est du pays, et de Molangué dans le Sud-Ouest.
Selon le représentant du Hcr, la République Centrafricaine est le premier des six pays d’accueil des réfugiés de la sous région à terminer l’opération de rapatriement volontaire.
Il a félicité le gouvernement centrafricain pour avoir soumis à l’assemblée nationale la loi relative au statut du réfugié, qui va contribuer, selon lui, à la protection des réfugiés en République Centrafricaine.
Le représentant du Hcr qui arrive en fin de mandat a fait le bilan de son séjour en Centrafrique marqué entre autres par les rapatriements volontaires, la formation professionnelle de plusieurs réfugiés dans le domaine de l’informatique, de la menuiserie et de la conduite, et des bourses d’études octroyées aux élèves et étudiants en vue faciliter leur intégration.
Il a également expliqué que le Hcr a mené durant la période 2007-2008, des campagnes de sensibilisation, de prise en charge psychosociale et de suivi ont été entreprises par le Hcr, à l’égard des victimes de violence et de viol dans les zones de conflits.
Pour ce qui concerne les réfugiés centrafricains dans les pays voisins, M. Bruno Geddo a indiqué que le nombre est de 60 milles au Tchad et de 45 milles au Cameroun.
M. Gilbert Akizimana de nationalité burundaise qui a parlé au nom des réfugiés a souhaité que la protection soit « la valeur humaine la mieux partagée ». Il a par ailleurs demandé à ses camarades de bannir la culture de l’assistanat, après avoir témoigner de l’hospitalité centrafricaine.
« Les réfugiés peuvent contribuer à l’autosuffisance alimentaire ; ici la terre est fertile, le soleil brille, la pluie tombe », a-t-il déclaré, exhortant ses camarades à se mettre au travail en vue d’assurer leur prise en charge.
Selon le représentant du Hcr, la République Centrafricaine est le premier des six pays d’accueil des réfugiés de la sous région à terminer l’opération de rapatriement volontaire.
Il a félicité le gouvernement centrafricain pour avoir soumis à l’assemblée nationale la loi relative au statut du réfugié, qui va contribuer, selon lui, à la protection des réfugiés en République Centrafricaine.
Le représentant du Hcr qui arrive en fin de mandat a fait le bilan de son séjour en Centrafrique marqué entre autres par les rapatriements volontaires, la formation professionnelle de plusieurs réfugiés dans le domaine de l’informatique, de la menuiserie et de la conduite, et des bourses d’études octroyées aux élèves et étudiants en vue faciliter leur intégration.
Il a également expliqué que le Hcr a mené durant la période 2007-2008, des campagnes de sensibilisation, de prise en charge psychosociale et de suivi ont été entreprises par le Hcr, à l’égard des victimes de violence et de viol dans les zones de conflits.
Pour ce qui concerne les réfugiés centrafricains dans les pays voisins, M. Bruno Geddo a indiqué que le nombre est de 60 milles au Tchad et de 45 milles au Cameroun.
M. Gilbert Akizimana de nationalité burundaise qui a parlé au nom des réfugiés a souhaité que la protection soit « la valeur humaine la mieux partagée ». Il a par ailleurs demandé à ses camarades de bannir la culture de l’assistanat, après avoir témoigner de l’hospitalité centrafricaine.
« Les réfugiés peuvent contribuer à l’autosuffisance alimentaire ; ici la terre est fertile, le soleil brille, la pluie tombe », a-t-il déclaré, exhortant ses camarades à se mettre au travail en vue d’assurer leur prise en charge.