La cérémonie a été marquée par la remise d’un mémorandum au Chef de l’Etat et a pour but de fédérer toutes les femmes de la République Centrafricaine autour d’un seul défit, celui du relèvement de la RCA.
La Première Dame, Brigitte Touadera, a rappelé dans son discours de circonstance que cette Journée est une opportunité pour les femmes de Centrafrique de faire le bilan des acquis sur le plan social, économique, politique et culturel de la femme centrafricaine et également de voir l’évaluation de la mise en œuvre de la résolution et les recommandations adoptées depuis 1975, année d’instauration de ladite Journée par les Nations-Unies.
« En RCA, on note que les femmes sont plus nombreuses que les hommes et constituent pour certaines, les piliers de leur foyer, de leur communauté et de leur pays. C’est dans ce sens qu’elles assurent la production et la reproduction en RCA », a relevé la Première Dame Brigitte Toudera.
Elle a poursuivi que « quelques problèmes freinent l’épanouissement et la pleine participation des femmes aux actions de développement initiées par le gouvernement notamment, la non maîtrise et ou l’ignorance de la protection de leur droit et le manque de courage pour dénoncer les violences basées sur le genre dans toutes ses dimensions ».
« Grâce aux efforts du gouvernement et l’appui des partenaires, on note des avancées, mais la situation reste préoccupante car les femmes continuent de faire l’objet de marginalisation et de discrimination liées à leur sexe, les rendant plus dépendantes et vulnérables aux violences de tout genre entre autres les violences physique et morale, les mariages forcés et précoces, les harcèlements sexuels au milieu scolaire.
La première dame Brigitte Touadera a profité de l’occasion pour exhorter les parties prenantes à faire la promotion des mesures en faveur d’un accès plus égalitaire au niveau des services et des ressources productifs.
Pour sa part, la Ministre en charge des Affaires sociales des Femmes et de la Famille, Marguerite Ramadan, a souligné que c’est un plaidoyer que les femmes ont fait à l’endroit du Président de la République sur la mise en place d’un observatoire national de la parité qui est un organe de veuille des droits des femmes.
Rappelons que cette cérémonie a été marquée par la remise d’un trophée et un certificat champion genre au Président de la République Faustin Archange Touadera et quelques personnalités.
La Première Dame, Brigitte Touadera, a rappelé dans son discours de circonstance que cette Journée est une opportunité pour les femmes de Centrafrique de faire le bilan des acquis sur le plan social, économique, politique et culturel de la femme centrafricaine et également de voir l’évaluation de la mise en œuvre de la résolution et les recommandations adoptées depuis 1975, année d’instauration de ladite Journée par les Nations-Unies.
« En RCA, on note que les femmes sont plus nombreuses que les hommes et constituent pour certaines, les piliers de leur foyer, de leur communauté et de leur pays. C’est dans ce sens qu’elles assurent la production et la reproduction en RCA », a relevé la Première Dame Brigitte Toudera.
Elle a poursuivi que « quelques problèmes freinent l’épanouissement et la pleine participation des femmes aux actions de développement initiées par le gouvernement notamment, la non maîtrise et ou l’ignorance de la protection de leur droit et le manque de courage pour dénoncer les violences basées sur le genre dans toutes ses dimensions ».
« Grâce aux efforts du gouvernement et l’appui des partenaires, on note des avancées, mais la situation reste préoccupante car les femmes continuent de faire l’objet de marginalisation et de discrimination liées à leur sexe, les rendant plus dépendantes et vulnérables aux violences de tout genre entre autres les violences physique et morale, les mariages forcés et précoces, les harcèlements sexuels au milieu scolaire.
La première dame Brigitte Touadera a profité de l’occasion pour exhorter les parties prenantes à faire la promotion des mesures en faveur d’un accès plus égalitaire au niveau des services et des ressources productifs.
Pour sa part, la Ministre en charge des Affaires sociales des Femmes et de la Famille, Marguerite Ramadan, a souligné que c’est un plaidoyer que les femmes ont fait à l’endroit du Président de la République sur la mise en place d’un observatoire national de la parité qui est un organe de veuille des droits des femmes.
Rappelons que cette cérémonie a été marquée par la remise d’un trophée et un certificat champion genre au Président de la République Faustin Archange Touadera et quelques personnalités.