Le ministre Djono Ahaba a dressé le bilan des activités réalisées par l’ENERCA depuis sa création le 25 octobre 1967 et fait état des difficultés rencontrées par ladite société.
Il a rappelé que la mission première de l’ENERCA est de fournir de l'électricité à la population centrafricaine mais elle est confrontée à d’énormes difficultés, notamment la vétusté des deux centrales hydroélectriques de Boali (95 km au nord de Bangui).
Il a souligné qu’en raison du délestage chronique au niveau de Bangui, la priorité de son département fut d’augmenter sa capacité de production afin de juguler ces problèmes pour satisfaire les demandes de la population et surtout des opérateurs économiques qui dépendent entièrement de l’ENERCA.
« La République Centrafricaine, à l’image d’autres pays de la sous régions, dispose d’importantes potentialités énergétiques en géothermique, en solaire, en hydro électricité, malgré tout cela, le taux d’accès à l’électricité est très faible, notamment de 3% dont 2% à Bangui et 1% en zone rurale », a-t-il déploré.
Selon lui, la population rurale sur qui reposent les efforts nationaux pour le développement économique vit dans une situation de vulnérabilité préoccupante, privée des moyens d'améliorer sa situation économique.
Cependant, des efforts ont été faits grâce à l’appui des partenaires, notamment la Banque Mondiale et l’Agence française de Développement (AFD), pour le remplacement des cinq (5) turbines de Boali 1 et des efforts se poursuivent pour Boali 2, a-t-il affirmé.
Le Directeur général de l’ENERCA, Thierry Bendima, a quant à lui indiqué que sa société fera un effort pour restaurer la confiance des consommateurs d’électricité.
Il a saisi l’occasion pour exhorter les Centrafricains à protéger les installations de l’ENERCA qui est leur bien commun.
Il convient de signaler que dans les 16 préfectures de la République Centrafricaine, l’ENERCA fonctionne grâce à des groupes électrogènes.
Il a rappelé que la mission première de l’ENERCA est de fournir de l'électricité à la population centrafricaine mais elle est confrontée à d’énormes difficultés, notamment la vétusté des deux centrales hydroélectriques de Boali (95 km au nord de Bangui).
Il a souligné qu’en raison du délestage chronique au niveau de Bangui, la priorité de son département fut d’augmenter sa capacité de production afin de juguler ces problèmes pour satisfaire les demandes de la population et surtout des opérateurs économiques qui dépendent entièrement de l’ENERCA.
« La République Centrafricaine, à l’image d’autres pays de la sous régions, dispose d’importantes potentialités énergétiques en géothermique, en solaire, en hydro électricité, malgré tout cela, le taux d’accès à l’électricité est très faible, notamment de 3% dont 2% à Bangui et 1% en zone rurale », a-t-il déploré.
Selon lui, la population rurale sur qui reposent les efforts nationaux pour le développement économique vit dans une situation de vulnérabilité préoccupante, privée des moyens d'améliorer sa situation économique.
Cependant, des efforts ont été faits grâce à l’appui des partenaires, notamment la Banque Mondiale et l’Agence française de Développement (AFD), pour le remplacement des cinq (5) turbines de Boali 1 et des efforts se poursuivent pour Boali 2, a-t-il affirmé.
Le Directeur général de l’ENERCA, Thierry Bendima, a quant à lui indiqué que sa société fera un effort pour restaurer la confiance des consommateurs d’électricité.
Il a saisi l’occasion pour exhorter les Centrafricains à protéger les installations de l’ENERCA qui est leur bien commun.
Il convient de signaler que dans les 16 préfectures de la République Centrafricaine, l’ENERCA fonctionne grâce à des groupes électrogènes.