
Organisé par l’Association des Sages Femmes et Infirmiers Accoucheurs de Centrafrique (ASFIACA) de concert avec le Fonds des Nations Unies pour la Population (FNUAP), cette journée a regroupé toutes les sages femmes et les Infirmiers Accoucheurs de Centrafrique.
L’objectif est d’éduquer , d’informer et de sensibiliser la population sur la Résolution de Bamako qui prône l’auto prise en charge des problèmes de santé, la création des mutuelles de santé plus axées sur la maternité, l’impact de la planification familiale sur les décès découlant des complications des interruptions volontaires de grossesses, l’accouchement en milieu assisté et les signes de danger chez la femme enceinte avant l’accouchement.
La Présidente de l’ASFIACA, Mme Onambélé Suzanne, a indiqué que la Confédération Internationale des sages femmes et le FNUAP demandent à tous les gouvernements de trouver une solution aux problèmes de pénuries des sages femmes.
« Nous pensons que ce message est perçu par le gouvernement », a-t-elle déclaré, avant de souligner que « la République Centrafricaine fait partie des pays dont le taux de décès maternel est très élevé ».
« Ces Institutions s’engagent à travailler pour améliorer, la formation, la réglementation, le statut et les conditions de travail des sages femmes afin de protéger la vie des mères et des enfants », a-t-elle ajouté.
Le représentant du ministre de la Santé et de la Population M. Valentin Gouana a déploré l’inégale répartition des sages femmes sur l’étendue du territoire. Selon lui cette situation est due au refus des sages femmes de travailler dans les provinces.
« Si vous faisiez comme les Infirmiers Accoucheurs qui sont maintenant de plus en plus appréciés à travers le pays, nous arriverons au moins à faire stagner les chiffres dramatiques que nous connaissons », a estimé le représentant du ministre de la Santé M. Gouana.
Par ailleurs, il a fait savoir aux sages femmes qu’avant de démarrer la formation de sage femme, elles ont signé un engagement au niveau des Facultés des Sciences de la Santé pour passer quelques années dans le milieu Rural, quelque soit leur situation matrimoniale.
Il a en plus souhaité que le thème de la Journée soit adapté au contexte de la République Centrafricaine afin que cela puisse aider à réduire la mortalité maternelle.
Signalons que la République Centrafricaine dispose d’au moins deux cent quarante (240) sages femmes et infirmiers accoucheurs.
L’objectif est d’éduquer , d’informer et de sensibiliser la population sur la Résolution de Bamako qui prône l’auto prise en charge des problèmes de santé, la création des mutuelles de santé plus axées sur la maternité, l’impact de la planification familiale sur les décès découlant des complications des interruptions volontaires de grossesses, l’accouchement en milieu assisté et les signes de danger chez la femme enceinte avant l’accouchement.
La Présidente de l’ASFIACA, Mme Onambélé Suzanne, a indiqué que la Confédération Internationale des sages femmes et le FNUAP demandent à tous les gouvernements de trouver une solution aux problèmes de pénuries des sages femmes.
« Nous pensons que ce message est perçu par le gouvernement », a-t-elle déclaré, avant de souligner que « la République Centrafricaine fait partie des pays dont le taux de décès maternel est très élevé ».
« Ces Institutions s’engagent à travailler pour améliorer, la formation, la réglementation, le statut et les conditions de travail des sages femmes afin de protéger la vie des mères et des enfants », a-t-elle ajouté.
Le représentant du ministre de la Santé et de la Population M. Valentin Gouana a déploré l’inégale répartition des sages femmes sur l’étendue du territoire. Selon lui cette situation est due au refus des sages femmes de travailler dans les provinces.
« Si vous faisiez comme les Infirmiers Accoucheurs qui sont maintenant de plus en plus appréciés à travers le pays, nous arriverons au moins à faire stagner les chiffres dramatiques que nous connaissons », a estimé le représentant du ministre de la Santé M. Gouana.
Par ailleurs, il a fait savoir aux sages femmes qu’avant de démarrer la formation de sage femme, elles ont signé un engagement au niveau des Facultés des Sciences de la Santé pour passer quelques années dans le milieu Rural, quelque soit leur situation matrimoniale.
Il a en plus souhaité que le thème de la Journée soit adapté au contexte de la République Centrafricaine afin que cela puisse aider à réduire la mortalité maternelle.
Signalons que la République Centrafricaine dispose d’au moins deux cent quarante (240) sages femmes et infirmiers accoucheurs.