Le but de cette journée est d’attirer l’attention des gouvernements sur les conditions de travail des journalistes qui sont en proie à des dangers de toutes sortes.
Le ministre Ange-Maxime Kazagui s'est réjoui du fait qu’aucun journaliste centrafricain ne soit en prison ou encore moins victime d’assaut de l’Etat pour être tué comme cela se passe sous d’autres cieux.
Il a paraphrasé la directrice générale de l’UNESCO qui disait que : « Ce ne sont pas des mensonges mais des faits qui doivent guider le choix des citoyens ».
Selon lui, ce sont les journalistes qui sont interpellés dans leur façon de collecter, traiter de diffuser des informations sans pour autant vérifier la véracité des faits.
Le membre du gouvernement a invité les professionnels des médias à unir leurs efforts à celui de son département pour lutter contre la désinformation, la sous-information et l'"infox".
Il a apporté quelques éléments de réponse au contenu du mémorandum que lui a remis l’Union des journalistes de Centrafrique (UJCvA) avant d'adresser ses vifs remerciements au président de la République qui ne cesse d’apporter son soutien à la presse centrafricaine.
Le président de l’UJCA, Tita Samba Solé, a présenté l’état des lieux de la presse publique et privée, qui est confrontée à des défis de tous ordres et ne peut se relever sans l’aide du gouvernement et des partenaires.
D’où l’idée d’adresser au ministre de la Communication un mémorandum contenant un certain nombre de revendications.
Il a souligné au passage qu’en rapport avec le thème national, la presse doit avoir un minimum de moyens pour la couverture médiatique en période des élections et que les journalistes doivent agir en toute liberté dans la recherche de l’information dont ils ont besoin.
Il convient de signaler que la lecture du mémorandum de l'UJCA a été précédé de celle des messages de la directrice générale de l’UNESCO, Audrey Azoulay, et du Secrétaire général des Nations-Unies, Antonio Guterres.
Le ministre Ange-Maxime Kazagui s'est réjoui du fait qu’aucun journaliste centrafricain ne soit en prison ou encore moins victime d’assaut de l’Etat pour être tué comme cela se passe sous d’autres cieux.
Il a paraphrasé la directrice générale de l’UNESCO qui disait que : « Ce ne sont pas des mensonges mais des faits qui doivent guider le choix des citoyens ».
Selon lui, ce sont les journalistes qui sont interpellés dans leur façon de collecter, traiter de diffuser des informations sans pour autant vérifier la véracité des faits.
Le membre du gouvernement a invité les professionnels des médias à unir leurs efforts à celui de son département pour lutter contre la désinformation, la sous-information et l'"infox".
Il a apporté quelques éléments de réponse au contenu du mémorandum que lui a remis l’Union des journalistes de Centrafrique (UJCvA) avant d'adresser ses vifs remerciements au président de la République qui ne cesse d’apporter son soutien à la presse centrafricaine.
Le président de l’UJCA, Tita Samba Solé, a présenté l’état des lieux de la presse publique et privée, qui est confrontée à des défis de tous ordres et ne peut se relever sans l’aide du gouvernement et des partenaires.
D’où l’idée d’adresser au ministre de la Communication un mémorandum contenant un certain nombre de revendications.
Il a souligné au passage qu’en rapport avec le thème national, la presse doit avoir un minimum de moyens pour la couverture médiatique en période des élections et que les journalistes doivent agir en toute liberté dans la recherche de l’information dont ils ont besoin.
Il convient de signaler que la lecture du mémorandum de l'UJCA a été précédé de celle des messages de la directrice générale de l’UNESCO, Audrey Azoulay, et du Secrétaire général des Nations-Unies, Antonio Guterres.