POLITIQUE
« Si on ne voit pas la paix, si on ne voit que l’intérêt personnel en mettant la pression pour viser des postes, je crois qu’on demande trop », a –t-il déclaré.
Selon Bienvenu Guinon, « sans la paix, même si aujourd’hui M. Jean Jacques Démafouth devient Président de la République, il y aura toujours des problèmes ; On prend Charles Massi Président de la république, il y aura toujours des problèmes », a-t-il fait remarquer s’adressant aux Chefs des groupes politico-militaires.
Il a ajouté que les hommes politiques centrafricains devraient écarter l’esprit égoïste de l’homme et voir objectivement ce qu’il faut faire pour l’avenir du pays.
« J’appelle déjà à la prise de conscience de tout un chacun, que ce soit le pouvoir en place ou les groupes politico-militaires qui visent les intérêts à une prise de conscience », a-t-il encore lancé.
S’agissant du départ de Charles Massi vers l’Union des Forces Démocratique pour le Rassemblement (UFDR), M. Bienvenu Guinon, a fait remarquer « la décision de Charles Massi est une décision purement personnel et n’engage nullement le Fodem » ; ajoutant que ce dernier a agi en violation du statut du parti et est par conséquent sanctionné et exclu définitivement du Fodem.
« Nous faisons toujours partie intégrante de la majorité présidentielle, nous participons directement aux réflexions de la majorité où nous défendons nos couleurs tout en préparant les élections législatives de 2010 », a-t-il déclaré.
Il a également expliqué que le Fodem condamne le départ de Charles Massi à l’Ufdr qui est un groupe armé, parce que le Fodem est un parti politique démocratique.
« En 2005, nous n’avions qu’un député à l’Assemblée Nationale, mais en 2010, nous souhaiterions avoir plus de dix (10) députés au parlement en vue d’être influent dans la prise des décisions de la majorité présidentielle », a –t-il confié.
A propos du dialogue politique inclusif, M. Bienvenu Guinon, a expliqué que la vision actuelle du Fodem est de faire des analyses politiques constructives et objectives en vue de participer positivement à ce dialogue, pour la restauration d’une paix durable en République Centrafricaine.
Pour le porte parole du Fodem, le départ du Charles Massi, ne crée aucun dysfonctionnement au sein du parti. Au contraire, « ce départ est un soulagement pour les combattants de cette formation politique qui peuvent désormais exprimer leur opinion et travailler en toute liberté ».
Il convient de signaler que Bienvenu Guinon est un cadre du Fodem au niveau de la diaspora, précisément à Paris en France. Depuis le départ de Charles Massi, le 12 mai dernier, il séjourne à Bangui dans le but de la redynamisation et de la restructuration du parti.
Rappelons que au cours d’une Assemblée générale extraordinaire du parti, tenu à Bangui le 22 Mai 2008 , un bureau politique provisoire du Fodem a été mis en place et a pour président, Joseph Garba Ouangolé, ancien deuxième vice président du parti.
Selon Bienvenu Guinon, « sans la paix, même si aujourd’hui M. Jean Jacques Démafouth devient Président de la République, il y aura toujours des problèmes ; On prend Charles Massi Président de la république, il y aura toujours des problèmes », a-t-il fait remarquer s’adressant aux Chefs des groupes politico-militaires.
Il a ajouté que les hommes politiques centrafricains devraient écarter l’esprit égoïste de l’homme et voir objectivement ce qu’il faut faire pour l’avenir du pays.
« J’appelle déjà à la prise de conscience de tout un chacun, que ce soit le pouvoir en place ou les groupes politico-militaires qui visent les intérêts à une prise de conscience », a-t-il encore lancé.
S’agissant du départ de Charles Massi vers l’Union des Forces Démocratique pour le Rassemblement (UFDR), M. Bienvenu Guinon, a fait remarquer « la décision de Charles Massi est une décision purement personnel et n’engage nullement le Fodem » ; ajoutant que ce dernier a agi en violation du statut du parti et est par conséquent sanctionné et exclu définitivement du Fodem.
« Nous faisons toujours partie intégrante de la majorité présidentielle, nous participons directement aux réflexions de la majorité où nous défendons nos couleurs tout en préparant les élections législatives de 2010 », a-t-il déclaré.
Il a également expliqué que le Fodem condamne le départ de Charles Massi à l’Ufdr qui est un groupe armé, parce que le Fodem est un parti politique démocratique.
« En 2005, nous n’avions qu’un député à l’Assemblée Nationale, mais en 2010, nous souhaiterions avoir plus de dix (10) députés au parlement en vue d’être influent dans la prise des décisions de la majorité présidentielle », a –t-il confié.
A propos du dialogue politique inclusif, M. Bienvenu Guinon, a expliqué que la vision actuelle du Fodem est de faire des analyses politiques constructives et objectives en vue de participer positivement à ce dialogue, pour la restauration d’une paix durable en République Centrafricaine.
Pour le porte parole du Fodem, le départ du Charles Massi, ne crée aucun dysfonctionnement au sein du parti. Au contraire, « ce départ est un soulagement pour les combattants de cette formation politique qui peuvent désormais exprimer leur opinion et travailler en toute liberté ».
Il convient de signaler que Bienvenu Guinon est un cadre du Fodem au niveau de la diaspora, précisément à Paris en France. Depuis le départ de Charles Massi, le 12 mai dernier, il séjourne à Bangui dans le but de la redynamisation et de la restructuration du parti.
Rappelons que au cours d’une Assemblée générale extraordinaire du parti, tenu à Bangui le 22 Mai 2008 , un bureau politique provisoire du Fodem a été mis en place et a pour président, Joseph Garba Ouangolé, ancien deuxième vice président du parti.
