Le coordonnateur Technique a souligné que la 1ère phase porte sur six thématiques, dont les participants viennent de boucler les études sur les deux thématiques notamment la gouvernance économique et bilan des plans et programmes antérieur.
«Il en est de même pour la thématique de gouvernance économique, l’enjeu, c’est de voir un peu la tendance de l’économie centrafricaine », a poursuivi Merry-Urbain-Cyrile Mbala.
Selon le Coordonnateur, l’objectif est de faire un diagnostic de la République Centrafricaine, en ce qui concerne les programmes qui ont été élaborés et implantés dans le pays pour relever les points forts et les points faibles de ces documents qui ont été réalisés et relèvent de ce qu’on appelle un document de politique économique des différents gouvernements qui se sont succédés à la tête du pays.
Merry-Urbain-Cyrile Mbala a soutenu que l’un des points forts de ce document une fois élaboré, est que les autorités centrafricaines vont en servir comme un document de plaidoyer, afin de mobiliser des ressources.
Il sied de rappeler que cet atelier de validation de l’étude rétrospective a été organisé par le département de l’Economie, du Plan et de la Coopération internationale avec le concours financier conjoint du programme des Nations Unies pour le développement, la Banque mondiale et la Banque africaine pour le développement.
«Il en est de même pour la thématique de gouvernance économique, l’enjeu, c’est de voir un peu la tendance de l’économie centrafricaine », a poursuivi Merry-Urbain-Cyrile Mbala.
Selon le Coordonnateur, l’objectif est de faire un diagnostic de la République Centrafricaine, en ce qui concerne les programmes qui ont été élaborés et implantés dans le pays pour relever les points forts et les points faibles de ces documents qui ont été réalisés et relèvent de ce qu’on appelle un document de politique économique des différents gouvernements qui se sont succédés à la tête du pays.
Merry-Urbain-Cyrile Mbala a soutenu que l’un des points forts de ce document une fois élaboré, est que les autorités centrafricaines vont en servir comme un document de plaidoyer, afin de mobiliser des ressources.
Il sied de rappeler que cet atelier de validation de l’étude rétrospective a été organisé par le département de l’Economie, du Plan et de la Coopération internationale avec le concours financier conjoint du programme des Nations Unies pour le développement, la Banque mondiale et la Banque africaine pour le développement.