POLITIQUE
Elle a ajouté que le comité a marqué sa préoccupation face à la résurgence des tensions inflationnistes en 2008, alimentées par une nouvelle poussée des prix du pétrole, le renchérissement des biens alimentaires importés, l’impact des hausses des salaires et l’expansion continue de la liquidité des banques.
Concernant la République Centrafricaine, Mme Limbio a indiqué qu’en 2006 le taux de croissance avait augmenté à 4.2%, en 2007 3.8% enfin pour l’année 2008 le taux est estimé à 5% en tenant compte d’un certain nombre d’hypothèses, notamment celle de la production au niveau des secteurs primaire, secondaire et tertiaire.
Concernant l’excédent budgétaire, elle a souligné que la RCA est un pays qui n’est pas producteur de pétrole, ajoutant que ce sont les pays producteurs de pétrole qui enclenchent les excédents budgétaires.
Au terme d’une mission de 15 jours à Bangui, une délégation du FMI avait indiqué le 22 mars dernier que « les objectifs pour 2008 sont de maintenir la croissance autour d e 5% tout en préservant la discipline macroéconomique et budgétaire », rappelle--on.
Pour une bonne exécution du budget 2008, la mission a préconisé « des mesures administratives et politiques énergiques » pour améliorer la mobilisation des recettes ainsi que des réformes structurelles afin de renforcer les capacités en matière de gestion des finances publiques et améliorer le climat des affaires.
Concernant la République Centrafricaine, Mme Limbio a indiqué qu’en 2006 le taux de croissance avait augmenté à 4.2%, en 2007 3.8% enfin pour l’année 2008 le taux est estimé à 5% en tenant compte d’un certain nombre d’hypothèses, notamment celle de la production au niveau des secteurs primaire, secondaire et tertiaire.
Concernant l’excédent budgétaire, elle a souligné que la RCA est un pays qui n’est pas producteur de pétrole, ajoutant que ce sont les pays producteurs de pétrole qui enclenchent les excédents budgétaires.
Au terme d’une mission de 15 jours à Bangui, une délégation du FMI avait indiqué le 22 mars dernier que « les objectifs pour 2008 sont de maintenir la croissance autour d e 5% tout en préservant la discipline macroéconomique et budgétaire », rappelle--on.
Pour une bonne exécution du budget 2008, la mission a préconisé « des mesures administratives et politiques énergiques » pour améliorer la mobilisation des recettes ainsi que des réformes structurelles afin de renforcer les capacités en matière de gestion des finances publiques et améliorer le climat des affaires.
