« La discussion était difficile avec le président de l’APRD, l’ancien ministre de la Défense Démafouth, mais nous sommes arrivés à un dénouement heureux pour le peuple centrafricain d’abord, ensuite pour les parties », a déclaré M. Gonda à la presse à son arrivée à Bangui, ajoutant que « c’est un accord déclencheur qui nous permettra de mettre en œuvre immédiatement le processus d’organisation du Dialogue Politique Inclusif dans les mois qui viennent ».
Il a qualifié de « vraiment satisfaisant pour toutes les parties » le contenu de cet accord, qui prévoit un cessez-le-feu immédiat, une amnistie et la suspension des poursuites judiciaires contre les membres militaires et civils de l’APRD ainsi que le cantonnement des combattants dans les zones où ils sont actuellement en attendant leur réinsertion.
Afin de veiller à la bonne application de cet accord, il est prévu la mise en place d’un comité de suivi composé de 3 membres de la partie gouvernementale et 3 membres de l’ APRD et placé sous les auspices du chef de l’Etat gabonais, Omar Bongo Ondimba.
Active dans le Nord-ouest du pays depuis juin 2005, l’APRD était jusqu’ici le dernier des 3 groupes armés à n’avoir pas signé d’accord avec le gouvernement centrafricain.
Bangui avait déjà signé un accord de paix en février 2007 avec le Front pour la Démocratie du Peuple Centrafricain (FDPC d’Abdoulaye Miskine) et en avril 2007 avec l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement (UFDR de Zacharia Damane).
En conclusion de ses travaux, le 25 avril dernier, le comité préparatoire du Dialogue Politique Inclusif, forum destiné à régler la crise engendrée par l’existence de groupes rebelles, avait préconisé la signature d’un accord de paix avec l’APRD et d’un accord global avec les mouvements rebelles avant cette rencontre prévue pour le 8 juin au plus tard.
Présumé proche du président déchu Ange Félix Patassé, actuellement en exil au Togo, elle s’est choisi comme président, à la fin mars dernier, M. Jean-Jacques Demafouth, ancien ministre de la Défense de ce dernier.
Il a qualifié de « vraiment satisfaisant pour toutes les parties » le contenu de cet accord, qui prévoit un cessez-le-feu immédiat, une amnistie et la suspension des poursuites judiciaires contre les membres militaires et civils de l’APRD ainsi que le cantonnement des combattants dans les zones où ils sont actuellement en attendant leur réinsertion.
Afin de veiller à la bonne application de cet accord, il est prévu la mise en place d’un comité de suivi composé de 3 membres de la partie gouvernementale et 3 membres de l’ APRD et placé sous les auspices du chef de l’Etat gabonais, Omar Bongo Ondimba.
Active dans le Nord-ouest du pays depuis juin 2005, l’APRD était jusqu’ici le dernier des 3 groupes armés à n’avoir pas signé d’accord avec le gouvernement centrafricain.
Bangui avait déjà signé un accord de paix en février 2007 avec le Front pour la Démocratie du Peuple Centrafricain (FDPC d’Abdoulaye Miskine) et en avril 2007 avec l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement (UFDR de Zacharia Damane).
En conclusion de ses travaux, le 25 avril dernier, le comité préparatoire du Dialogue Politique Inclusif, forum destiné à régler la crise engendrée par l’existence de groupes rebelles, avait préconisé la signature d’un accord de paix avec l’APRD et d’un accord global avec les mouvements rebelles avant cette rencontre prévue pour le 8 juin au plus tard.
Présumé proche du président déchu Ange Félix Patassé, actuellement en exil au Togo, elle s’est choisi comme président, à la fin mars dernier, M. Jean-Jacques Demafouth, ancien ministre de la Défense de ce dernier.