«Avec la signature de l’accord global de paix le 21 juin dernier à Libreville au Gabon entre le gouvernement et les groupes politico-militaires, le gouvernement a maintenant la possibilité de garantir une stabilité de paix en Centrafrique pour que les bailleurs de fonds puissent investir dans le pays afin de réduire la pauvreté très frappante», a déclaré au cours d’une conférence de presse M. Lanzer qui achève un mandat de deux ans en République Centrafricaine.
« Le défi, pour le gouvernement, est de faire en sorte que le Centrafricain puisse mieux vivre », a-t-il souligné, précisant que « le destin de la République Centrafricaine est entre les mains de son peuple et non dans les mains de la communauté internationale ».
Il convient de rappeler qu’au cours de son mandat en Centrafrique, M. Toby Lanzer a joué un rôle déterminant dans le réengagement auprès du pays des institutions de Bretton Woods ainsi que dans l’élaboration du Document de stratégie de réduction de la pauvreté (Dsrp), approuvé par les bailleurs de fonds à l’issue d’une table ronde le 26 octobre 2007 à Bruxelles, en Belgique.
Selon le Rapport National sur le Développement Humain 2008, « la situation en République Centrafricaine est dramatique, car deux personnes sur trois survivent avec 400 F CFA par jour ».
« Le défi, pour le gouvernement, est de faire en sorte que le Centrafricain puisse mieux vivre », a-t-il souligné, précisant que « le destin de la République Centrafricaine est entre les mains de son peuple et non dans les mains de la communauté internationale ».
Il convient de rappeler qu’au cours de son mandat en Centrafrique, M. Toby Lanzer a joué un rôle déterminant dans le réengagement auprès du pays des institutions de Bretton Woods ainsi que dans l’élaboration du Document de stratégie de réduction de la pauvreté (Dsrp), approuvé par les bailleurs de fonds à l’issue d’une table ronde le 26 octobre 2007 à Bruxelles, en Belgique.
Selon le Rapport National sur le Développement Humain 2008, « la situation en République Centrafricaine est dramatique, car deux personnes sur trois survivent avec 400 F CFA par jour ».