« L’Etat doit concrétiser ses engagements dans le domaine des droits de l’Homme, de la bonne gouvernance, de la lutte contre la corruption et la restauration de la sécurité », a déclaré M. Esmieu, pour qui cette table ronde a été « un très grand succès pour le gouvernement centrafricain » car elle a permis de montrer une Centrafrique intelligente, capable de concevoir et de présenter un document bancable ».
Selon lui, la rencontre de Bruxelles a également permis à la RCA « d’entrer dans le concert des Nations » parce que les portes sont désormais ouvertes entre elle et les bailleurs de fonds.
Il a toutefois relevé que « la table ronde n’est pas le père noël » et que la mobilisation des fonds promis est un processus qui prend du temps et que même mobilisés, les 300 milliards F CFA promis ne résoudront pas immédiatement les problèmes des Centrafricains.
Il a en outre expliqué que des rencontres sectoriels vont se tenir après la table ronde pour apporter des réponses plus précises aux différents problèmes dans le cadre du Document de stratégie de réduction de la pauvreté (Dsrp) approuvé à Bruxelles.
S’agissant de la participation de l’Union européenne à la réduction de la pauvreté en Centrafrique dans le cadre du DSRP, M. Esmieu a expliqué que son institution s’appuie sur les pôles de développement.
Pour lui, le pôle de développement est une initiative de l’Union européenne fondée sur la restructuration des centres urbains, la décentralisation et la déconcentration des centres. le bien fondé de cette initiative, a-t-il expliqué, est qu’elle permet de « restaurer la confiance entre l’Etat et la population », en vue de bien mener les actions de développement.
Avec les pôles de développement, les financements iront directement vers les populations à travers des Ong internationales et nationales qui conduiront des projets de développement, a-t-il précisé, ajoutant que « tout cela n’est réalisable que si la population se met sérieusement au travail ».
Interrogé sur le déploiement prochain d’une force européenne en Centrafrique, M. Esmieu a indiqué qu’il s’agit d’une force qui s’installera dans le Nord-est du pays pour une durée de douze mois, en attendant le déploiement de la force des Nations Unies.
« Son mandat est de sécuriser le Nord est du pays, en vue d’éviter les débordements des événements du Darfour vers la RCA, ce sera une force de stationnement, un verrou de sécurité », a-t-il conclu.
M. Esmieu a profité de cette occasion pour réaffirmer l’engagement de son institution à soutenir le processus de développement en République Centrafricaine.
Selon lui, la rencontre de Bruxelles a également permis à la RCA « d’entrer dans le concert des Nations » parce que les portes sont désormais ouvertes entre elle et les bailleurs de fonds.
Il a toutefois relevé que « la table ronde n’est pas le père noël » et que la mobilisation des fonds promis est un processus qui prend du temps et que même mobilisés, les 300 milliards F CFA promis ne résoudront pas immédiatement les problèmes des Centrafricains.
Il a en outre expliqué que des rencontres sectoriels vont se tenir après la table ronde pour apporter des réponses plus précises aux différents problèmes dans le cadre du Document de stratégie de réduction de la pauvreté (Dsrp) approuvé à Bruxelles.
S’agissant de la participation de l’Union européenne à la réduction de la pauvreté en Centrafrique dans le cadre du DSRP, M. Esmieu a expliqué que son institution s’appuie sur les pôles de développement.
Pour lui, le pôle de développement est une initiative de l’Union européenne fondée sur la restructuration des centres urbains, la décentralisation et la déconcentration des centres. le bien fondé de cette initiative, a-t-il expliqué, est qu’elle permet de « restaurer la confiance entre l’Etat et la population », en vue de bien mener les actions de développement.
Avec les pôles de développement, les financements iront directement vers les populations à travers des Ong internationales et nationales qui conduiront des projets de développement, a-t-il précisé, ajoutant que « tout cela n’est réalisable que si la population se met sérieusement au travail ».
Interrogé sur le déploiement prochain d’une force européenne en Centrafrique, M. Esmieu a indiqué qu’il s’agit d’une force qui s’installera dans le Nord-est du pays pour une durée de douze mois, en attendant le déploiement de la force des Nations Unies.
« Son mandat est de sécuriser le Nord est du pays, en vue d’éviter les débordements des événements du Darfour vers la RCA, ce sera une force de stationnement, un verrou de sécurité », a-t-il conclu.
M. Esmieu a profité de cette occasion pour réaffirmer l’engagement de son institution à soutenir le processus de développement en République Centrafricaine.