Il a toutefois souligné la nécessité de « créer des activités génératrices de revenu », pouvant favoriser l’amélioration des conditions de vie de ces populations qui ont besoin d’une assistance dans les secteurs de l’éducation, de la santé et de l’environnement.
M. Kalimba a, pour ce faire, appelé à la mobilisation de la communauté nationale et internationale pour la restauration des peuples autochtones dans leurs droits, relevant, à titre d’exemple, que contrairement à une idée reçue, les pygmées sont également concernés par la pandémie du VIH/sida et doivent être pris en compte dans la lutte contre cette infection.
Pour sa part, M. Loemba Moké, membre de la délégation, a indiqué que La République Centrafricaine pourrait être le premier pays africain à ratifier la Convention 169 de l’Organisation internationale du Travail (Oit) relative aux peuples indigènes et tribaux.
Arrivée à Bangui le 15 janvier dernier, la délégation composée de 3 membres avait pour mission de vulgariser le rapport sur les peuples autochtones d’Afrique rédigé par le groupe de travail de la Commission africaine et de recueillir, auprès des autorités et de la société civile, des informations relatives aux efforts en faveur de la promotion des droits des peuples autochtones.
Au cours de son séjour de près de 15 jours en Centrafrique, la délégation a notamment rencontré le premier vice-président de l’Assemblée Nationale, M. Eric Sorongopé Zoumandji ainsi qu’une quinzaine de membres du gouvernement afin de les sensibiliser sur la question des peuples autochtones.
Trois communautés ont été reconnues comme répondant aux critères d’identifications des populations autochtones, à savoir les peuhls vivant dans plusieurs communes d’élevage réparties dans tout le pays, les luthos installés dans la préfecture de l’Ouham (Nord) ainsi que les pygmées Aka des forêts du Sud-Ouest dont le nombre est estimé à quelque 40 000 personnes et la tradition orale déclarée patrimoine immatériel par l'Unesco.
M. Kalimba a, pour ce faire, appelé à la mobilisation de la communauté nationale et internationale pour la restauration des peuples autochtones dans leurs droits, relevant, à titre d’exemple, que contrairement à une idée reçue, les pygmées sont également concernés par la pandémie du VIH/sida et doivent être pris en compte dans la lutte contre cette infection.
Pour sa part, M. Loemba Moké, membre de la délégation, a indiqué que La République Centrafricaine pourrait être le premier pays africain à ratifier la Convention 169 de l’Organisation internationale du Travail (Oit) relative aux peuples indigènes et tribaux.
Arrivée à Bangui le 15 janvier dernier, la délégation composée de 3 membres avait pour mission de vulgariser le rapport sur les peuples autochtones d’Afrique rédigé par le groupe de travail de la Commission africaine et de recueillir, auprès des autorités et de la société civile, des informations relatives aux efforts en faveur de la promotion des droits des peuples autochtones.
Au cours de son séjour de près de 15 jours en Centrafrique, la délégation a notamment rencontré le premier vice-président de l’Assemblée Nationale, M. Eric Sorongopé Zoumandji ainsi qu’une quinzaine de membres du gouvernement afin de les sensibiliser sur la question des peuples autochtones.
Trois communautés ont été reconnues comme répondant aux critères d’identifications des populations autochtones, à savoir les peuhls vivant dans plusieurs communes d’élevage réparties dans tout le pays, les luthos installés dans la préfecture de l’Ouham (Nord) ainsi que les pygmées Aka des forêts du Sud-Ouest dont le nombre est estimé à quelque 40 000 personnes et la tradition orale déclarée patrimoine immatériel par l'Unesco.