Centrafrique/Sécurité
Dans un entretien à la radio nationale, M. Gonda a notamment déclaré qu’ « En l’état actuel des informations que l’état-major de notre pays a, cette ville vit dans sa quiétude », ajoutant « qu’il y a des mouvements depuis quelques jours des bandes armées dans les environs de Sam-Ouandja », autre localité de la Vakaga (968 km au nord-est de Bangui).
Il a par ailleurs invité les médias à « éviter de créer la psychose dans la population centrafricaine, en annonçant des évènements qui n’en sont pas et en mettant le doute et la peur dans l’esprit des populations ».
Aux premières heures de la matinée, Radio France internationale (Rfi), puis l’Agence France presse (Afp) ont annoncé la chute de Ouadda-Djallé, après des combats ayant opposé l’armée centrafricaine aux rebelles de l’Union des forces pour la démocratie et le rassemblement (Ufdr), qui ont occupé le 30 octobre dernier la ville de Birao (1087 km au nord-est de Bangui), près de la frontière avec le Tchad et le Soudan.
Cette guerre des ondes entre Bangui et les médias intervient 48 heures après une grande marche pour la paix organisée par les forces vives pour dénoncer l’occupation de Birao et réclamer le rétablissement de l’intégrité du territoire centrafricain.
Dans un entretien à la radio nationale, M. Gonda a notamment déclaré qu’ « En l’état actuel des informations que l’état-major de notre pays a, cette ville vit dans sa quiétude », ajoutant « qu’il y a des mouvements depuis quelques jours des bandes armées dans les environs de Sam-Ouandja », autre localité de la Vakaga (968 km au nord-est de Bangui).
Il a par ailleurs invité les médias à « éviter de créer la psychose dans la population centrafricaine, en annonçant des évènements qui n’en sont pas et en mettant le doute et la peur dans l’esprit des populations ».
Aux premières heures de la matinée, Radio France internationale (Rfi), puis l’Agence France presse (Afp) ont annoncé la chute de Ouadda-Djallé, après des combats ayant opposé l’armée centrafricaine aux rebelles de l’Union des forces pour la démocratie et le rassemblement (Ufdr), qui ont occupé le 30 octobre dernier la ville de Birao (1087 km au nord-est de Bangui), près de la frontière avec le Tchad et le Soudan.
Cette guerre des ondes entre Bangui et les médias intervient 48 heures après une grande marche pour la paix organisée par les forces vives pour dénoncer l’occupation de Birao et réclamer le rétablissement de l’intégrité du territoire centrafricain.