Dans un communiqué du ministère de la Défense nationale publié mardi soir, Bangui accuse son voisin soudanais de favoriser la violation répétée du territoire et la constitution des rébellions dans le Nord-est de la Centrafrique.
« Le ministère de la défense nationale constate une fois de plus que l’attaque de la ville d’Amdafock constitue l’opération destinée à tromper la vigilance du peuple et à perturber une nouvelle fois la mise en œuvre du processus de paix déjà entamé », souligne le communiqué.
« Comment comprendre qu’une force établie au Soudan puisse s’organiser et lancer une offensive contre un Etat voisin, alors que l’attention des autorités de Khartoum a plus d’une fois été attiré par l’entremise de leur représentation diplomatique à Bangui sur les menées subversives de certains de nos compatriotes établis sur leur territoire », ajoute le communiqué.
« Le département de la Défense nationale qui voudrait souligner le rôle des forces internationales de paix déployées dans le Nord –est, notamment l’Eufor et la MINURCAT dont les mandats ont été redéfinis et leur prolongation envisagé au cours de la dernière Assemblée générale des Nations-Unies à New-York, ces présences multidimensionnelles devraient permettre d’assurer conformément au cahier de charge le maintien de l’ordre et le respect de la loi dans les principales villes et dans les régions avoisinantes, la protection de la population civile en danger et les personnes déplacées », relève encore le communiqué.
Il est à noter que selon le gouvernement centrafricain, les assaillants qui arborent des brassards portant des inscriptions inconnues appartiendraient en réalité au mouvement d’Oumar Sodiam constitué en territoire soudanais qui aurait fait le pari de s’attaquer à l’aile de l’Union des Forces Démocratique pour le Rassemblement (UFDR) placé sous les ordres du Chef des opérations Zacharia, signataire avec le gouvernement des Accords de paix de Birao, le 13 avril 2007.
« Après le pillage des boutiques et les autres locaux d’Amdafock, l’essentiel des hommes armés se seraient retiré sur le territoire soudanais », conclut le communiqué du gouvernement.
« Le ministère de la défense nationale constate une fois de plus que l’attaque de la ville d’Amdafock constitue l’opération destinée à tromper la vigilance du peuple et à perturber une nouvelle fois la mise en œuvre du processus de paix déjà entamé », souligne le communiqué.
« Comment comprendre qu’une force établie au Soudan puisse s’organiser et lancer une offensive contre un Etat voisin, alors que l’attention des autorités de Khartoum a plus d’une fois été attiré par l’entremise de leur représentation diplomatique à Bangui sur les menées subversives de certains de nos compatriotes établis sur leur territoire », ajoute le communiqué.
« Le département de la Défense nationale qui voudrait souligner le rôle des forces internationales de paix déployées dans le Nord –est, notamment l’Eufor et la MINURCAT dont les mandats ont été redéfinis et leur prolongation envisagé au cours de la dernière Assemblée générale des Nations-Unies à New-York, ces présences multidimensionnelles devraient permettre d’assurer conformément au cahier de charge le maintien de l’ordre et le respect de la loi dans les principales villes et dans les régions avoisinantes, la protection de la population civile en danger et les personnes déplacées », relève encore le communiqué.
Il est à noter que selon le gouvernement centrafricain, les assaillants qui arborent des brassards portant des inscriptions inconnues appartiendraient en réalité au mouvement d’Oumar Sodiam constitué en territoire soudanais qui aurait fait le pari de s’attaquer à l’aile de l’Union des Forces Démocratique pour le Rassemblement (UFDR) placé sous les ordres du Chef des opérations Zacharia, signataire avec le gouvernement des Accords de paix de Birao, le 13 avril 2007.
« Après le pillage des boutiques et les autres locaux d’Amdafock, l’essentiel des hommes armés se seraient retiré sur le territoire soudanais », conclut le communiqué du gouvernement.