Organisé par la Commission Européenne en collaboration avec le ministère du Plan, de l’Economie et de la Coopération Internationale, cet atelier vise à évaluer les actions des Ong, et de renforcer leurs capacités dans le domaine du partenariat.
Le chargé de missions au Secrétariat permanent à la Cellule des Ong au ministère du plan, M. Jean Louis Pouninguinza, a expliqué que lors des précédentes études sur la politique de développement, il a été constaté des insuffisances ainsi qu’une faible mobilisation des ressources de la part des Ong, dans le processus de la mise en œuvre des mécanismes de suivi et d’évaluation des stratégies de développement.
« C’est dans ce contexte que le gouvernement a procédé à des réformes dans le cadre des institutions internationales, afin de permettre une bonne implication des Ong par la mise en place des nouvelles structures de coordination des informations », a-t-il dit, tout en espérant que les préoccupations des Ong soient prises en compte d’ici la fin de l’année.
La représentante de l’Union Européenne, Mme Nicole Malpas, a pour sa part déclaré que cette rencontre va permettre d’appréhender vivement les premiers résultats des études relatives à l’évaluation des actions des Ong en République Centrafricaine.
Elle a par ailleurs indiqué que, selon les termes de l’Accord de Cotonou de 2000, les Ong ont un rôle très important à jouer dans la société civile, sur le plan politique et juridique. Selon elle, cet accord reconnaît le rôle complémentaire de la société civile aux côtés des actions du gouvernement.
Le chargé de missions au Secrétariat permanent à la Cellule des Ong au ministère du plan, M. Jean Louis Pouninguinza, a expliqué que lors des précédentes études sur la politique de développement, il a été constaté des insuffisances ainsi qu’une faible mobilisation des ressources de la part des Ong, dans le processus de la mise en œuvre des mécanismes de suivi et d’évaluation des stratégies de développement.
« C’est dans ce contexte que le gouvernement a procédé à des réformes dans le cadre des institutions internationales, afin de permettre une bonne implication des Ong par la mise en place des nouvelles structures de coordination des informations », a-t-il dit, tout en espérant que les préoccupations des Ong soient prises en compte d’ici la fin de l’année.
La représentante de l’Union Européenne, Mme Nicole Malpas, a pour sa part déclaré que cette rencontre va permettre d’appréhender vivement les premiers résultats des études relatives à l’évaluation des actions des Ong en République Centrafricaine.
Elle a par ailleurs indiqué que, selon les termes de l’Accord de Cotonou de 2000, les Ong ont un rôle très important à jouer dans la société civile, sur le plan politique et juridique. Selon elle, cet accord reconnaît le rôle complémentaire de la société civile aux côtés des actions du gouvernement.