L’enjeu de cette formation est de renforcer les capacités d’une vingtaine des responsables des organisations de la société civile en vue de lutter contre la corruption et permettre la mise en œuvre des actions relatives à la redynamisation du processus de décentralisation en Centrafrique.
« La société civile joue, au même titre que le secteur public et le secteur privé, un rôle extrêmement important dans la lutte contre la corruption », a déclaré le Haut Commissaire Georges Pétro-Koni-Zézé.
Il est à souligner que La 3ème conférence des Etats parties à la convention des Nations Unies contre la corruption tenue à Doha au Qatar en 2009, a recommandé que la société civile et le secteur privé s’impliquent davantage aux côtés des pouvoirs publics au fin d’engager une lutte opiniâtre pour éradiquer la corruption.
Le président de Conseil Inter Organisation Non Gouvernementale en Centrafrique (CIONGCA), Modeste Gonda a estimé que «la société civile joue un rôle vital dans la lutte contre la corruption en contribuant à des changements des mentalités en surveillant les prestations des détenteurs des charges publiques. Elle exerce également des pressions sur les secteurs publics et privés afin de renforcer la transparence et la recevabilité ».
Il est à rappeler que le gouvernement centrafricain a pris une série de mesures visant à lutter contre la corruption, entre autres la création du comité national de lutte contre la corruption dont la mission est d’élaborer et de mettre en œuvre la stratégie nationale de lutte contre ce fléau et assurer la diffusion auprès des acteurs publics et privés, coordonner, superviser et aider à la formulation des différentes actions du gouvernement relatives à la lutte contre la corruption, la transparence et la bonne gouvernance.
Il est à noter que cet atelier est organisé par le Conseil Inter Organisation Non Gouvernementale en Centrafrique (CIONGCA) en partenariat avec le Programme Cadre Gouvernance Démocratique et Décentralisation (PCDG) avec l’appui financier du Programme des Nations pour le Développement (PNUD).
« La société civile joue, au même titre que le secteur public et le secteur privé, un rôle extrêmement important dans la lutte contre la corruption », a déclaré le Haut Commissaire Georges Pétro-Koni-Zézé.
Il est à souligner que La 3ème conférence des Etats parties à la convention des Nations Unies contre la corruption tenue à Doha au Qatar en 2009, a recommandé que la société civile et le secteur privé s’impliquent davantage aux côtés des pouvoirs publics au fin d’engager une lutte opiniâtre pour éradiquer la corruption.
Le président de Conseil Inter Organisation Non Gouvernementale en Centrafrique (CIONGCA), Modeste Gonda a estimé que «la société civile joue un rôle vital dans la lutte contre la corruption en contribuant à des changements des mentalités en surveillant les prestations des détenteurs des charges publiques. Elle exerce également des pressions sur les secteurs publics et privés afin de renforcer la transparence et la recevabilité ».
Il est à rappeler que le gouvernement centrafricain a pris une série de mesures visant à lutter contre la corruption, entre autres la création du comité national de lutte contre la corruption dont la mission est d’élaborer et de mettre en œuvre la stratégie nationale de lutte contre ce fléau et assurer la diffusion auprès des acteurs publics et privés, coordonner, superviser et aider à la formulation des différentes actions du gouvernement relatives à la lutte contre la corruption, la transparence et la bonne gouvernance.
Il est à noter que cet atelier est organisé par le Conseil Inter Organisation Non Gouvernementale en Centrafrique (CIONGCA) en partenariat avec le Programme Cadre Gouvernance Démocratique et Décentralisation (PCDG) avec l’appui financier du Programme des Nations pour le Développement (PNUD).