Centrafrique /Santé :
L’objectif principal de cette formation est de doter les volontaires communautaires des nouvelles connaissances nécessaires pour l’application de traitement directement observé (DOT).
Pendant trois (3) jours, quatre vingt et neuf (89) volontaires communautaires vont donc être édifiés sur les différents modules, à savoir le rappel de la politique nationale de lutte contre la tuberculose, l’ampleur de la tuberculose en Centrafrique, la stratégie des traitements directement observés, la connaissance sur la tuberculose, le diagnostic de la tuberculose, le contrôle du traitement de la tuberculose et le traitement et la prévention de la tuberculose.
En ouvrant la séance, le chef de service adjoint de lutte contre la tuberculose, le docteur Kanda Pierre a précisé que « cette formation concerne exclusivement les volontaires communautaires des huit arrondissements de Bangui, qui servent désormais de relais entre le personnel de santé et les malades».
Il a ajouté que « le problème de la tuberculose n’est pas seulement un problème de personnel de santé, mais c’est un problème pluridisciplinaire ».
Organisé par le ministère de la Santé Publique et de la Population avec l’appui financier du Fonds Mondial pour la lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose, cet atelier intervient après plusieurs autres qui ont déjà permis de former plus de quatre cent (400) volontaires, dont plus de trois cent (300) à Bangui, afin d’appliquer le traitement directement observé au niveau des malades tuberculeux.
L’objectif principal de cette formation est de doter les volontaires communautaires des nouvelles connaissances nécessaires pour l’application de traitement directement observé (DOT).
Pendant trois (3) jours, quatre vingt et neuf (89) volontaires communautaires vont donc être édifiés sur les différents modules, à savoir le rappel de la politique nationale de lutte contre la tuberculose, l’ampleur de la tuberculose en Centrafrique, la stratégie des traitements directement observés, la connaissance sur la tuberculose, le diagnostic de la tuberculose, le contrôle du traitement de la tuberculose et le traitement et la prévention de la tuberculose.
En ouvrant la séance, le chef de service adjoint de lutte contre la tuberculose, le docteur Kanda Pierre a précisé que « cette formation concerne exclusivement les volontaires communautaires des huit arrondissements de Bangui, qui servent désormais de relais entre le personnel de santé et les malades».
Il a ajouté que « le problème de la tuberculose n’est pas seulement un problème de personnel de santé, mais c’est un problème pluridisciplinaire ».
Organisé par le ministère de la Santé Publique et de la Population avec l’appui financier du Fonds Mondial pour la lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose, cet atelier intervient après plusieurs autres qui ont déjà permis de former plus de quatre cent (400) volontaires, dont plus de trois cent (300) à Bangui, afin d’appliquer le traitement directement observé au niveau des malades tuberculeux.