La 4ème édition des cahiers économiques de la République Centrafricaine, est un document qui analyse l’évolution des tendances économiques en Centrafrique, afin d’aider le gouvernement et ses partenaires au développement à identifier les nouvelles opportunités et à répondre aux défis persistants.
Le ministre Hervé Ndoba a déclaré que la publication des cahiers économiques de la République Centrafricaine est une marque d’attention et d’intérêt pour le pays. Elle s’inscrit dans le cadre du long et séculaire partenariat entre le groupe de la BM et la République Centrafricaine, visant à soutenir la reconstruction et le repositionnement comme pôle de croissance et de développement, mais également comme un acteur important de l’intégration sous régionale.
« La 4ème édition des cahiers économiques de la République Centrafricaine nous interpelle tous, dans la mesure où elle identifie les faiblesses structurelles dans les secteurs sociaux et proposent des pistes de solutions à court, moyen et long terme pour y remédier », a fait savoir Hervé Ndoba.
Selon le chef du département des Finances, le rapport des cahiers économiques a focalisé l’attention du gouvernement sur la situation sociale de la population centrafricaine, reflet des différentes politiques et voir comment définir des voies et moyens pour la transformation du capital humain.
Pour Monsieur Han Fraeters de la Banque mondiale, la République Centrafricaine doit renforcer le capital humain afin de réduire la pauvreté, créer des opportunités économiques, s’attaquer aux facteurs de fragilité et transformer une malédiction démographique en dividende démographique.
Selon lui, pour investir dans le capital humain, son institution a recommandé au gouvernement centrafricain, de renforcer l’autonomisation des femmes et des filles pour accélérer la transition démographique du pays, assurer l’efficacité, le caractère inclusif et la bonne exécution des dépenses publiques dans les secteurs sociaux.
« De relever les défis du développement de la petite enfance à travers entre autres le maintien de la gratuité des soins ciblés pour les enfants de moins de cinq ans ainsi que les femmes enceintes et allaitantes, et renforcer la gouvernance des institutions dans les secteurs sociaux en évitant la prolifération des ministères et des structures administratives centrales », a ajouté le représentant résident de la BM en Centrafrique.
Il est à noter que la 4ème édition des cahiers économiques de la République Centrafricaine, a été présentée par l’économiste à la Banque mondiale, Wilfried A. Kouamé.
Le ministre Hervé Ndoba a déclaré que la publication des cahiers économiques de la République Centrafricaine est une marque d’attention et d’intérêt pour le pays. Elle s’inscrit dans le cadre du long et séculaire partenariat entre le groupe de la BM et la République Centrafricaine, visant à soutenir la reconstruction et le repositionnement comme pôle de croissance et de développement, mais également comme un acteur important de l’intégration sous régionale.
« La 4ème édition des cahiers économiques de la République Centrafricaine nous interpelle tous, dans la mesure où elle identifie les faiblesses structurelles dans les secteurs sociaux et proposent des pistes de solutions à court, moyen et long terme pour y remédier », a fait savoir Hervé Ndoba.
Selon le chef du département des Finances, le rapport des cahiers économiques a focalisé l’attention du gouvernement sur la situation sociale de la population centrafricaine, reflet des différentes politiques et voir comment définir des voies et moyens pour la transformation du capital humain.
Pour Monsieur Han Fraeters de la Banque mondiale, la République Centrafricaine doit renforcer le capital humain afin de réduire la pauvreté, créer des opportunités économiques, s’attaquer aux facteurs de fragilité et transformer une malédiction démographique en dividende démographique.
Selon lui, pour investir dans le capital humain, son institution a recommandé au gouvernement centrafricain, de renforcer l’autonomisation des femmes et des filles pour accélérer la transition démographique du pays, assurer l’efficacité, le caractère inclusif et la bonne exécution des dépenses publiques dans les secteurs sociaux.
« De relever les défis du développement de la petite enfance à travers entre autres le maintien de la gratuité des soins ciblés pour les enfants de moins de cinq ans ainsi que les femmes enceintes et allaitantes, et renforcer la gouvernance des institutions dans les secteurs sociaux en évitant la prolifération des ministères et des structures administratives centrales », a ajouté le représentant résident de la BM en Centrafrique.
Il est à noter que la 4ème édition des cahiers économiques de la République Centrafricaine, a été présentée par l’économiste à la Banque mondiale, Wilfried A. Kouamé.