POLITIQUE
« On va réunir les délégués des 17 provinces afin de leur expliquer la suite du processus pour la tenue des élections au comité exécutif dont la date a été prévue pour le 10 mai 2008. Il est question de faire passer le message à tous les acteurs du football, qu’on leur annonce les règles du jeu, comment on procède à l’élection », a expliqué M. Blatter.
Il a précisé que l’implication de la Fifa dans la suite du processus est de contourner les blocages qui ont été constatés lors des deux dernières élections et que la Fifa a décidé de jouer le rôle d’arbitre pour s’assurer que le processus passe dans la transparence, la neutralité et l’impartialité afin que les candidats potentiels aient un poste.
Il a ensuite souligné que sur les deux échecs consécutifs, « on n’a pas envie de voir un troisième échec de ces élections ».
« Si le processus s’éternise, donc la FIFA n’a pas un parti pris, le seul parti de la FIFA c’est la démocratie » a-t-il ajouté, le corps électoral est composé des personnes régulières qui représentent le terrain de football dans ce pays.
« Les principaux éléments qui ont justifié l’annulation de ces dernières élections étaient la composition d’un corps électoral car certains délégués n’ont pas pu participer au vote, ils ont été retenus sur le chemin, voire qu'ils n’ont pas pu entrer dans la salle", a-t-il relevé.
Maintenant, la Fifa procède à un travail de fond dans les provinces pour identifier très clairement qui sont les présidents des clubs, qui sont les délégués des provinces qui vont pouvoir voter car « le principal problème était la composition de cette assemblée générale » a-t-il conclu.
Rappelons que suite à une contestation des résultats des élections tenues le 29 septembre dernier, la Fifa a mis en place un comité de normalisation pour gérer les affaires courantes de la fédération centrafricaine de football.
Il a précisé que l’implication de la Fifa dans la suite du processus est de contourner les blocages qui ont été constatés lors des deux dernières élections et que la Fifa a décidé de jouer le rôle d’arbitre pour s’assurer que le processus passe dans la transparence, la neutralité et l’impartialité afin que les candidats potentiels aient un poste.
Il a ensuite souligné que sur les deux échecs consécutifs, « on n’a pas envie de voir un troisième échec de ces élections ».
« Si le processus s’éternise, donc la FIFA n’a pas un parti pris, le seul parti de la FIFA c’est la démocratie » a-t-il ajouté, le corps électoral est composé des personnes régulières qui représentent le terrain de football dans ce pays.
« Les principaux éléments qui ont justifié l’annulation de ces dernières élections étaient la composition d’un corps électoral car certains délégués n’ont pas pu participer au vote, ils ont été retenus sur le chemin, voire qu'ils n’ont pas pu entrer dans la salle", a-t-il relevé.
Maintenant, la Fifa procède à un travail de fond dans les provinces pour identifier très clairement qui sont les présidents des clubs, qui sont les délégués des provinces qui vont pouvoir voter car « le principal problème était la composition de cette assemblée générale » a-t-il conclu.
Rappelons que suite à une contestation des résultats des élections tenues le 29 septembre dernier, la Fifa a mis en place un comité de normalisation pour gérer les affaires courantes de la fédération centrafricaine de football.
