Dans un entretien en Sango (langue nationale) à la radio nationale, Abdoulaye Miskine, qui est arrivé à Bangui dans la nuit du 2 au 3 février, a saisi l’occasion pour mettre en garde ceux de ses hommes qui seraient tentés de désobéir, qu’ils auraient à en regretter les conséquences réputées « très graves ».
Quand j’arriverai pour rassembler tous mes hommes, celui qui s’amusera à rester au maquis subira les conséquences de son amusement », a-t-il prévenu, précisant que ses troupes seraient disséminées entre le Soudan, la République Démocratique du Congo et la République Centrafricaine.
Selon des sources dignes de foi, Abdoulaye Miskine devrait quitter Bangui jeudi pour Tripoli via N’djaména, au Tchad en vue de préparer son retour définitif en République Centrafricaine où il doit superviser le cantonnement de ses hommes, conformément à l’accord de Syrte.
Cet accord, signé le 2 février à Syrte, en Libye sous le parrainage du Guide libyen, Mouammar Khadafi, prévoit notamment la cessation immédiate des hostilités et le cantonnement en territoire centrafricain des troupes du Fdpc et de l’Union des forces démocratiques pour le rassemblement (Ufdr) dans la perspective de leur intégration dans les forces de défense et de sécurité ou dans la vie civile, rappelle-t-on.
Quand j’arriverai pour rassembler tous mes hommes, celui qui s’amusera à rester au maquis subira les conséquences de son amusement », a-t-il prévenu, précisant que ses troupes seraient disséminées entre le Soudan, la République Démocratique du Congo et la République Centrafricaine.
Selon des sources dignes de foi, Abdoulaye Miskine devrait quitter Bangui jeudi pour Tripoli via N’djaména, au Tchad en vue de préparer son retour définitif en République Centrafricaine où il doit superviser le cantonnement de ses hommes, conformément à l’accord de Syrte.
Cet accord, signé le 2 février à Syrte, en Libye sous le parrainage du Guide libyen, Mouammar Khadafi, prévoit notamment la cessation immédiate des hostilités et le cantonnement en territoire centrafricain des troupes du Fdpc et de l’Union des forces démocratiques pour le rassemblement (Ufdr) dans la perspective de leur intégration dans les forces de défense et de sécurité ou dans la vie civile, rappelle-t-on.