« Il faut voir comment nous pouvons mieux protéger la population des incursions parce que parfois les rebelles veulent manger et puis ils s’attaquent aux populations etc. donc il faut savoir comment épargner la population de ces attaques qui font souffrir », a déclaré à la presse l’ancien chef d’Etat mozambicain, à l’issue d’une audience avec le président François Bozizé.
« Nous sommes venus pour savoir exactement de quoi s’agit-il et pour continuer à faire le dialogue avec ce mouvement rebelle pour trouver une sortie de la situation », a encore déclaré M. Chissano, expliquant qu’il y a en ce moment une impasse dans le dialogue avec les rebelles, même si « toutes les parties continuent à penser que la meilleure solution, c’est le dialogue ».
Interrogé sur l’éventualité d’une action militaire destinée à mettre fin au conflit et à capturer les chefs rebelles recherchés par la Cour Pénale Internationale, M. Chissano a répondu que beaucoup d’aspects devait être pris en compte dans l’examen de cette situation, y compris l’éventualité d’une réconciliation nationale.
« Je sais que les gouvernements de la région sont en train de discuter de savoir si la solution militaire est la meilleure, si elle est possible, jusqu’à quelle mesure elle ne causerait pas de souffrances à la population », a-t-il affirmé.
« Le gouvernement d’Ouganda, avec l’aide du gouvernement du Sud Soudan est en train de chercher une alternative à l’impossibilité de les attraper et peut-être aussi qu’ils sont intéressés de créer des conditions pour une réconciliation nationale et l’unité nationale du pays pour faire marcher le processus de développement », a-t-il encore indiqué.
La visite éclair à Bangui de M. Chissano intervient 3 mois après l’attaque de la ville de Obo (1253 km à l'est de Bangui) par des rebelles de la LRA, qui ont pillé des biens publics et privés avant de se retirer dans la brousse avec une centaine de prisonniers.
« Nous sommes venus pour savoir exactement de quoi s’agit-il et pour continuer à faire le dialogue avec ce mouvement rebelle pour trouver une sortie de la situation », a encore déclaré M. Chissano, expliquant qu’il y a en ce moment une impasse dans le dialogue avec les rebelles, même si « toutes les parties continuent à penser que la meilleure solution, c’est le dialogue ».
Interrogé sur l’éventualité d’une action militaire destinée à mettre fin au conflit et à capturer les chefs rebelles recherchés par la Cour Pénale Internationale, M. Chissano a répondu que beaucoup d’aspects devait être pris en compte dans l’examen de cette situation, y compris l’éventualité d’une réconciliation nationale.
« Je sais que les gouvernements de la région sont en train de discuter de savoir si la solution militaire est la meilleure, si elle est possible, jusqu’à quelle mesure elle ne causerait pas de souffrances à la population », a-t-il affirmé.
« Le gouvernement d’Ouganda, avec l’aide du gouvernement du Sud Soudan est en train de chercher une alternative à l’impossibilité de les attraper et peut-être aussi qu’ils sont intéressés de créer des conditions pour une réconciliation nationale et l’unité nationale du pays pour faire marcher le processus de développement », a-t-il encore indiqué.
La visite éclair à Bangui de M. Chissano intervient 3 mois après l’attaque de la ville de Obo (1253 km à l'est de Bangui) par des rebelles de la LRA, qui ont pillé des biens publics et privés avant de se retirer dans la brousse avec une centaine de prisonniers.