Centrafrique/Sécurité
François Bozizé a accusé des pays étrangers, en général, et le Soudan, en particulier de chercher à s’accaparer des immenses richesses de la République Centrafricaine par rebelles interposés.
Le chef de l’Etat centrafricain a étayé son accusation contre le Soudan par le fait qu’Abdoulaye Miskine, ancien homme de main du président déchu Ange Félix Patassé et le marabout Hamat Fakine se trouvent actuellement sur le territoire soudanais et font des navettes entre le Soudan, Lomé et le Tchad.
Selon François Bozizé, ces rebelles sont à la solde des opposants centrafricains en exil, dont il se garde pour l’instant de révéler les noms ainsi que de certains ambassadeurs en service en République Centrafricaine.
« Nous ne sommes pas opposés au dialogue », a-t-il déclaré, « mais il faut faire attention à ce que ce dialogue soit un bon dialogue » et non pas une farce.
La rencontre du président centrafricain avec les chefs de quartier intervient 24h avant la marche pour la paix organisée par les forces vives ce mercredi 8 novembre afin de protester contre l’occupation de Birao.
François Bozizé a accusé des pays étrangers, en général, et le Soudan, en particulier de chercher à s’accaparer des immenses richesses de la République Centrafricaine par rebelles interposés.
Le chef de l’Etat centrafricain a étayé son accusation contre le Soudan par le fait qu’Abdoulaye Miskine, ancien homme de main du président déchu Ange Félix Patassé et le marabout Hamat Fakine se trouvent actuellement sur le territoire soudanais et font des navettes entre le Soudan, Lomé et le Tchad.
Selon François Bozizé, ces rebelles sont à la solde des opposants centrafricains en exil, dont il se garde pour l’instant de révéler les noms ainsi que de certains ambassadeurs en service en République Centrafricaine.
« Nous ne sommes pas opposés au dialogue », a-t-il déclaré, « mais il faut faire attention à ce que ce dialogue soit un bon dialogue » et non pas une farce.
La rencontre du président centrafricain avec les chefs de quartier intervient 24h avant la marche pour la paix organisée par les forces vives ce mercredi 8 novembre afin de protester contre l’occupation de Birao.