L’objectif de cette conférence de presse, animée cette année autour du thème suivant : « « femmes et nouveau-nés au cœur de la pratique des sages-femmes », est d’exhorter les filles des huit lycées de la capitale centrafricaine et quelques garçons des autres établissements à s’intéresser réellement au métier de sage-femme et infirmier accoucheur pour lequel les jeunes ont peu d’attrait.
Annette Zawa Madjiapévo a saisi l’opportunité pour rendre public le résultat des dernières séances d’information, d’éducation et de communication (IEC) pour le changement de comportement et également débattre avec les jeunes la problématique de « la prise en charge médicale des victimes d’exploitation et d’abus sexuels par les sages-femmes ».
Elle a aussi fait mention de la campagne de sensibilisation menée par ces dernières auprès des populations des huit arrondissements de Bangui et des communes de Bimbo et Bégoua à propos du rôle fondamental des sages-femmes au moment des consultations prénatales, de la planification familiale, de la prévention des maladies sexuellement transmissibles et le VIH/sida.
La présidente de l’ASFIACA a fait référence à la dernière crise et dont les stigmates sont perceptibles au niveau de certaines femmes et filles victimes de violence basée sur le genre, d’où le slogan des sages-femmes qui est : « stop violence sexuelle en Centrafrique ».
Mme Zawa Madjiapévo, tout en déplorant l’absence des points focaux pour la prise en charge des victimes des violences et d’abus sexuels dans les centres de formation sanitaire, a préconisé l’enseignement la formation des puéricultrices, des femmes qui s’adonnent à la pédiatrie et à la maternité afin qu’elles apportent leur concours au dépistage précoce des malformations ou à l’adaptation à la vie extra-utérine du nouveau-né.
Il faut rappeler que la journée des sages-femmes, un corps professionnel censé accompagner les femmes durant une grossesse jusqu’à un moment après l’accouchement, est célébrée le 20 mai de chaque année.
Annette Zawa Madjiapévo a saisi l’opportunité pour rendre public le résultat des dernières séances d’information, d’éducation et de communication (IEC) pour le changement de comportement et également débattre avec les jeunes la problématique de « la prise en charge médicale des victimes d’exploitation et d’abus sexuels par les sages-femmes ».
Elle a aussi fait mention de la campagne de sensibilisation menée par ces dernières auprès des populations des huit arrondissements de Bangui et des communes de Bimbo et Bégoua à propos du rôle fondamental des sages-femmes au moment des consultations prénatales, de la planification familiale, de la prévention des maladies sexuellement transmissibles et le VIH/sida.
La présidente de l’ASFIACA a fait référence à la dernière crise et dont les stigmates sont perceptibles au niveau de certaines femmes et filles victimes de violence basée sur le genre, d’où le slogan des sages-femmes qui est : « stop violence sexuelle en Centrafrique ».
Mme Zawa Madjiapévo, tout en déplorant l’absence des points focaux pour la prise en charge des victimes des violences et d’abus sexuels dans les centres de formation sanitaire, a préconisé l’enseignement la formation des puéricultrices, des femmes qui s’adonnent à la pédiatrie et à la maternité afin qu’elles apportent leur concours au dépistage précoce des malformations ou à l’adaptation à la vie extra-utérine du nouveau-né.
Il faut rappeler que la journée des sages-femmes, un corps professionnel censé accompagner les femmes durant une grossesse jusqu’à un moment après l’accouchement, est célébrée le 20 mai de chaque année.