POLITIQUE
L’objectif de la soutenance de Alida Koïrokpi, seule personne de sexe féminin parmi quatre de ses collègues de sexe masculin, est de sanctionner les études que l’impétrante a menées, après toutes les épreuves théoriques, pratiques et cliniques inscrites au programme de sa formation, et qui lui ont permis d’obtenir la mention très honorables avec félicitation du jury.
Le Professeur Abdoulaye Sépou, Recteur de l’Université de Bangui, s’est plutôt réjoui « de la disponibilité de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à apporter un appui technique à la formation des spécialistes, œuvre utile pour le pays ». Il a émis le vœu que d’autres partenaires emboitent le pas à cette organisation en vue de diversifier les filières spécialisées en République Centrafricaine.
Pour vanter ce qui a été amorcé, le Recteur de l’Université a fait allusion à la réduction du temps consacré à la césarienne, temps qui est de moins de 15 minutes actuellement lors qu’auparavant, il fallait quasiment une heure, preuve que l’Université de Bangui fournit des spécialistes de qualité.
Quant au Doyen de la Faculté des Sciences et de la Santé (FACSS) à l’Université de Bangui, Gérard Grésenguet, il a souligné que la soutenance de l’étudiante Koïrokpi et celles des étudiants de la 30ème promotion, qui seront organisées à la fin du premier trimestre, participent à célébrer le 40ème anniversaire de l’établissement qu’il dirige.
Le Professeur Léon Hervé Iloky de l’Université Marien Ngouabi et président du jury international, à travers Koïrokpi, a encouragé les Centrafricaine à des études spécialisées dans le domaine de la santé.
Il est à noter que depuis 2008, la FACSS organise des soutenances en Diplômes d’Etudes Spécialisées dans les domaines de la biologie, de la gynécologie, de la pédiatrie, de la chirurgie et de l’anatomie pathologique. Les DES de santé publique et de Neurologie sont envisagées à la prochaine rentrée universitaires.
Le Professeur Abdoulaye Sépou, Recteur de l’Université de Bangui, s’est plutôt réjoui « de la disponibilité de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à apporter un appui technique à la formation des spécialistes, œuvre utile pour le pays ». Il a émis le vœu que d’autres partenaires emboitent le pas à cette organisation en vue de diversifier les filières spécialisées en République Centrafricaine.
Pour vanter ce qui a été amorcé, le Recteur de l’Université a fait allusion à la réduction du temps consacré à la césarienne, temps qui est de moins de 15 minutes actuellement lors qu’auparavant, il fallait quasiment une heure, preuve que l’Université de Bangui fournit des spécialistes de qualité.
Quant au Doyen de la Faculté des Sciences et de la Santé (FACSS) à l’Université de Bangui, Gérard Grésenguet, il a souligné que la soutenance de l’étudiante Koïrokpi et celles des étudiants de la 30ème promotion, qui seront organisées à la fin du premier trimestre, participent à célébrer le 40ème anniversaire de l’établissement qu’il dirige.
Le Professeur Léon Hervé Iloky de l’Université Marien Ngouabi et président du jury international, à travers Koïrokpi, a encouragé les Centrafricaine à des études spécialisées dans le domaine de la santé.
Il est à noter que depuis 2008, la FACSS organise des soutenances en Diplômes d’Etudes Spécialisées dans les domaines de la biologie, de la gynécologie, de la pédiatrie, de la chirurgie et de l’anatomie pathologique. Les DES de santé publique et de Neurologie sont envisagées à la prochaine rentrée universitaires.
