La main gauche sur la constitution et la main droite nue levée devant le drapeau gabonais, Ali Bongo Ondimba a prêté serment, lors d'une cérémonie tenue au palais présidentiel à Libreville.
"Je jure de consacrer toutes mes forces au bien du peuple gabonais, en vue d'assurer son bien-être et de le préserver de tout dommage, de respecter et de défendre la Constitution et l'état de droit, de remplir consciencieusement les devoirs de ma charge et d'être juste envers tous", a déclaré Ali Bongo Ondimba.
Un défilé militaire doit être organisé après l'investiture du nouveau président de la République, qui donnera lui-même une conférence de presse vers midi.
Lundi soir, la Cour constitutionnelle gabonaise a confirmé qu'Ali Bongo Ondimba est bien le vainqueur de l'élection présidentielle du 30 août dernier.
Dans cette élection à un tour, Ali Bongo Ondimba, candidat du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) est arrivée à la première position avec 41,79% des suffrages exprimés, suivi de Pierre Mamboundou de l'Union du peuple gabonais (UPG) avec 25,64% et André Mba Obame, canditat indépendant, avec 25,33%, selon le rapport de la Cour constitutionnelle.
Selon la loi gabonais, les décisions de la Cour constitutionnelle sont inattaquables, et s'imposent à tous.
A 50 ans, Ali Bongo Ondimba devient donc le 3ème président élu du Gabon. Il succède à son père Omar Bongo Ondimba, décédé le 8 juin dernier à Barcelone en Espagne à l'âge de 73 ans, après 41 ans au pouvoir.
Né le 9 février 1959 à Brazzaville en République du Congo, Ali Bongo a fait ses études en France et est diplomé en droit de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Vice-président du Parti démocratique du Gabon (PDG, parti au pouvoir), Ali Bongo est désigné par le parti comme candidat à l'élection présidentielle et abandonne son poste de ministre de la Défense.
L'élection d'Ali Bongo Ondimba à la présidence gabonaise a été contestée par ses principaux adversaires de l'opposition qui accusent Ali Bongo Ondimba d'avoir orchestré des fraudes, ce que dément le PDG.
Après l'annonce des résultats du scrutin du 30 août, une vague de violences a éclaté à Libreville et à Port-Gentil, la deuxième ville du Gabon. Trois personnes y ont été tuées, selon les autorités gabonaises, un bilan contesté par l'opposition qui a fait état d'au moins 15 personnes tuées par les forces de sécurité.
"Je jure de consacrer toutes mes forces au bien du peuple gabonais, en vue d'assurer son bien-être et de le préserver de tout dommage, de respecter et de défendre la Constitution et l'état de droit, de remplir consciencieusement les devoirs de ma charge et d'être juste envers tous", a déclaré Ali Bongo Ondimba.
Un défilé militaire doit être organisé après l'investiture du nouveau président de la République, qui donnera lui-même une conférence de presse vers midi.
Lundi soir, la Cour constitutionnelle gabonaise a confirmé qu'Ali Bongo Ondimba est bien le vainqueur de l'élection présidentielle du 30 août dernier.
Dans cette élection à un tour, Ali Bongo Ondimba, candidat du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) est arrivée à la première position avec 41,79% des suffrages exprimés, suivi de Pierre Mamboundou de l'Union du peuple gabonais (UPG) avec 25,64% et André Mba Obame, canditat indépendant, avec 25,33%, selon le rapport de la Cour constitutionnelle.
Selon la loi gabonais, les décisions de la Cour constitutionnelle sont inattaquables, et s'imposent à tous.
A 50 ans, Ali Bongo Ondimba devient donc le 3ème président élu du Gabon. Il succède à son père Omar Bongo Ondimba, décédé le 8 juin dernier à Barcelone en Espagne à l'âge de 73 ans, après 41 ans au pouvoir.
Né le 9 février 1959 à Brazzaville en République du Congo, Ali Bongo a fait ses études en France et est diplomé en droit de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Vice-président du Parti démocratique du Gabon (PDG, parti au pouvoir), Ali Bongo est désigné par le parti comme candidat à l'élection présidentielle et abandonne son poste de ministre de la Défense.
L'élection d'Ali Bongo Ondimba à la présidence gabonaise a été contestée par ses principaux adversaires de l'opposition qui accusent Ali Bongo Ondimba d'avoir orchestré des fraudes, ce que dément le PDG.
Après l'annonce des résultats du scrutin du 30 août, une vague de violences a éclaté à Libreville et à Port-Gentil, la deuxième ville du Gabon. Trois personnes y ont été tuées, selon les autorités gabonaises, un bilan contesté par l'opposition qui a fait état d'au moins 15 personnes tuées par les forces de sécurité.