Dans un communiqué de presse parvenu à l'ACAP, M. Ntelnoumbi invite les populations de Bégoua et des environs à "prendre les précautions nécessaires pour rendre l’eau potable, et ne consommer que de l’eau fournie par les fontaines publiques, également de bien manipuler les légumes et les crudités avant la consommation ».
«La contamination de cette maladie se fait par une ingestion d’aliments contaminés par un virus, on peut aussi l’attrapé dans des eaux souillées,des légumes mal cuites ,des crudités,également des selles des sujets infestés », poursuit le communiqué, qui exhorte les autorités administratives des localités concernées à mobiliser davantage leurs populations sur des mesures d’hygiène en vue de barrer le chemin à cette épidémie.
Interrogée par l’acap, le chef de service de la surveillance épidémiologique,de la gestion des épidémies et situation d’urgence au ministère de la Santé, le docteur Eddy Patrick Gamba, a indiqué que « l’épidémie actuelle sévit dans ces zones depuis un mois, mais on ne connaît pas la véritable ampleur".
"Le ministère en charge de la Santé a pu dépêcher une équipe sur le terrain, qui a procéder au prélèvements sanguins d’une douzaine de personnes infectées, consultées à l’institut Pasteur, et déclaré huit personnes atteintes de la maladie ».
Il a rappelé que la même zone de Bégoua a déjà présenté une centaine de cas d’hépatite E dans les années 2001- 2003, et que ces malades avaient eu l’aide de l'Ong Médecins sans frontières, par la distribution d’eau potable, la sensibilisation et l'éducation sur les techniques de prévention de cette maladie.
Il convient de préciser que les habitants de la commune de Bégoua, à la porte nord de Bangui, connaissent d'énormes difficultés de ravitaillement en eau potable en raison de l'indisponibilité d'un système d'adduction d'eau dans leur localité.
L’hépatite E est une inflammation causée par un virus qui attaque le foie et provoque le dysfonctionnement de la bile, entraînant une couleur jaunâtre aux yeux que les gens appellent communément « ictère ». EIle se manifeste par le vomissement, les maux de ventre et la fièvre.
«La contamination de cette maladie se fait par une ingestion d’aliments contaminés par un virus, on peut aussi l’attrapé dans des eaux souillées,des légumes mal cuites ,des crudités,également des selles des sujets infestés », poursuit le communiqué, qui exhorte les autorités administratives des localités concernées à mobiliser davantage leurs populations sur des mesures d’hygiène en vue de barrer le chemin à cette épidémie.
Interrogée par l’acap, le chef de service de la surveillance épidémiologique,de la gestion des épidémies et situation d’urgence au ministère de la Santé, le docteur Eddy Patrick Gamba, a indiqué que « l’épidémie actuelle sévit dans ces zones depuis un mois, mais on ne connaît pas la véritable ampleur".
"Le ministère en charge de la Santé a pu dépêcher une équipe sur le terrain, qui a procéder au prélèvements sanguins d’une douzaine de personnes infectées, consultées à l’institut Pasteur, et déclaré huit personnes atteintes de la maladie ».
Il a rappelé que la même zone de Bégoua a déjà présenté une centaine de cas d’hépatite E dans les années 2001- 2003, et que ces malades avaient eu l’aide de l'Ong Médecins sans frontières, par la distribution d’eau potable, la sensibilisation et l'éducation sur les techniques de prévention de cette maladie.
Il convient de préciser que les habitants de la commune de Bégoua, à la porte nord de Bangui, connaissent d'énormes difficultés de ravitaillement en eau potable en raison de l'indisponibilité d'un système d'adduction d'eau dans leur localité.
L’hépatite E est une inflammation causée par un virus qui attaque le foie et provoque le dysfonctionnement de la bile, entraînant une couleur jaunâtre aux yeux que les gens appellent communément « ictère ». EIle se manifeste par le vomissement, les maux de ventre et la fièvre.