Mme Sitta a précisé que l’objectif du PAM est de « sauver des vies, mais le but ultime est de laisser quelque chose derrière » et que « Chaque investissement fait par les pays donateurs pour apporter un bon équilibre nutritionnel à un enfant par exemple est un investissement dans le futur du pays qui nous reçoit ».
Elle a fait observer que les premières années d’un enfant sont cruciales pour son bon développement mental et physique, et l’impact du coût de la faim sur l’économie des nations peut se révéler extrêmement élevé, « donc investir dans des cantines scolaires, c’est investir dans l’économie du pays, » a conclu Mme,Sitta.
M. Girma a relevé que la France est particulièrement sensible à la souffrance de ces populations et « n’en déplaise à ceux qui croient pouvoir discerner un désengagement français », il a avancé que la France apporte une contribution à la fois importante, multiforme et désintéressée à l’amélioration des conditions de vie de la population centrafricaine.
« En somme la participation française s’est élevée en 2007 à deux millions d’euros, soit un milliard 312 millions de francs CFA, répartis pour un projet de distribution de semences mis en œuvre par l’ONG Solidarité, pour l’achat et le stockage de semences et pour les achats d’aliments effectués par le PAM », a-t-il souligné.
M. Bangalé Gbiama a saisi cette opportunité pour remercier la France, par le biais de son Ambassadeur, pour les efforts entrepris en vue d’appuyer le gouvernement centrafricain dans ses efforts pour réduire la pauvreté.
Il faut rappeler que dans le Nord de la Centrafrique, les programmes du PAM apportent une aide alimentaire à plus de 190.000 personnes déplacées, mais aussi à plus de 1.000 écoliers de familles déplacées à travers les programmes de cantines scolaires dans les écoles de brousse.
L’assistance de PAM comprend également des programmes nutritionnels en faveur de 1.200 mères et leurs enfants ainsi que près de 20.000 personnes affectées par le VIH/SIDA.
Signalons que ce don est composé entre autres de sacs de riz, des bouteilles d’huile végétale, de la farine de maïs, de soja, de lait et de haricot.
Elle a fait observer que les premières années d’un enfant sont cruciales pour son bon développement mental et physique, et l’impact du coût de la faim sur l’économie des nations peut se révéler extrêmement élevé, « donc investir dans des cantines scolaires, c’est investir dans l’économie du pays, » a conclu Mme,Sitta.
M. Girma a relevé que la France est particulièrement sensible à la souffrance de ces populations et « n’en déplaise à ceux qui croient pouvoir discerner un désengagement français », il a avancé que la France apporte une contribution à la fois importante, multiforme et désintéressée à l’amélioration des conditions de vie de la population centrafricaine.
« En somme la participation française s’est élevée en 2007 à deux millions d’euros, soit un milliard 312 millions de francs CFA, répartis pour un projet de distribution de semences mis en œuvre par l’ONG Solidarité, pour l’achat et le stockage de semences et pour les achats d’aliments effectués par le PAM », a-t-il souligné.
M. Bangalé Gbiama a saisi cette opportunité pour remercier la France, par le biais de son Ambassadeur, pour les efforts entrepris en vue d’appuyer le gouvernement centrafricain dans ses efforts pour réduire la pauvreté.
Il faut rappeler que dans le Nord de la Centrafrique, les programmes du PAM apportent une aide alimentaire à plus de 190.000 personnes déplacées, mais aussi à plus de 1.000 écoliers de familles déplacées à travers les programmes de cantines scolaires dans les écoles de brousse.
L’assistance de PAM comprend également des programmes nutritionnels en faveur de 1.200 mères et leurs enfants ainsi que près de 20.000 personnes affectées par le VIH/SIDA.
Signalons que ce don est composé entre autres de sacs de riz, des bouteilles d’huile végétale, de la farine de maïs, de soja, de lait et de haricot.