L’objectif recherché à travers cette réunion est de réfléchir et proposer des solutions appropriées pour favoriser le bon déroulement de la transhumance 2016-2017, en s’appuyant sur les recommandations des précédentes réunions afin de sécuriser et améliorer les activités pastorales en Centrafrique.
Monsieur Abel Kpawilina Namkoissé , a relevé que l’effectivité de la transhumance à travers les frontières et les régions est un signe de solidarité, de concorde, de la cohésion sociale et de la paix dans le pays.
« Nous devons tous, nous techniciens, nous mobiliser et nous mettre au travail, car au delà de son aspect pastoral, la vision du chef de l’Etat est de montrer aux yeux du monde l’importance de notre cheptel. Les richesses du sous-sol sont tarissables, mais le cheptel est une source intarissable », a-t-il-souligné.
Monsieur Roland Kouassi Amoussouga –Géro, Coordonnateur résident t à la Mission multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation en République Centrafricaine (MINUSCA), a réaffirmé la volonté de cette institution onusienne à réhabiliter les infrastructures, restaurer l’autorité de l’Etat et règlementer les activités pastorales afin d’améliorer les conditions sanitaires et de commercialisation du bétail en République Centrafricaine.
Il a fait savoir qu’un projet a été élaboré par la Société d’Etat de Gestion des Abattoirs (SEGA) transmis à la FAO ,afin de réhabiliter partiellement l’abattoir frigorifique de Bangui. Les travaux seront financés par la MINUSCA à hauteur de cinquante mille dollars américains, soit vingt et cinq millions de francs CFA.
Le Représentant de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), M. Jean Alexandre Scaglia, a indiqué que cette troisième réunion de la plate forme pastoralisme et de transhumance est l’occasion de réhabiliter certaines infrastructures pour une meilleure pratique de ladite activité à l’intérieure et à la frontière d’une manière consensuelle.
Il est à noter que cette 3ème réunion de la plateforme sur le pastoralisme, est organisée par le ministère de l’Elevage et de la Santé animale, et a mobilisé les cadres des secteurs public et privé, des ONGs qui œuvrent dans ce secteur avec le financement de la FAO.
Monsieur Abel Kpawilina Namkoissé , a relevé que l’effectivité de la transhumance à travers les frontières et les régions est un signe de solidarité, de concorde, de la cohésion sociale et de la paix dans le pays.
« Nous devons tous, nous techniciens, nous mobiliser et nous mettre au travail, car au delà de son aspect pastoral, la vision du chef de l’Etat est de montrer aux yeux du monde l’importance de notre cheptel. Les richesses du sous-sol sont tarissables, mais le cheptel est une source intarissable », a-t-il-souligné.
Monsieur Roland Kouassi Amoussouga –Géro, Coordonnateur résident t à la Mission multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation en République Centrafricaine (MINUSCA), a réaffirmé la volonté de cette institution onusienne à réhabiliter les infrastructures, restaurer l’autorité de l’Etat et règlementer les activités pastorales afin d’améliorer les conditions sanitaires et de commercialisation du bétail en République Centrafricaine.
Il a fait savoir qu’un projet a été élaboré par la Société d’Etat de Gestion des Abattoirs (SEGA) transmis à la FAO ,afin de réhabiliter partiellement l’abattoir frigorifique de Bangui. Les travaux seront financés par la MINUSCA à hauteur de cinquante mille dollars américains, soit vingt et cinq millions de francs CFA.
Le Représentant de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), M. Jean Alexandre Scaglia, a indiqué que cette troisième réunion de la plate forme pastoralisme et de transhumance est l’occasion de réhabiliter certaines infrastructures pour une meilleure pratique de ladite activité à l’intérieure et à la frontière d’une manière consensuelle.
Il est à noter que cette 3ème réunion de la plateforme sur le pastoralisme, est organisée par le ministère de l’Elevage et de la Santé animale, et a mobilisé les cadres des secteurs public et privé, des ONGs qui œuvrent dans ce secteur avec le financement de la FAO.