Cet entretien avec la presse a permis au Représentant résidant de la Banque mondiale d’évaluer le niveau de partenariat entre la ladite banque et la République Centrafricaine depuis la crise que le pays a traversée.
Le responsable de la Banque mondiale a indiqué les 400 milliards de FCFA sont destinées pour la formation sanitaire à Bangui, à la construction et à la réhabilitation des centaines d’écoles dans le pays dans les prochains mois, et le projet « Londo » qui est financé par la même institution.
Han Fraeters a relevé que le premier défi de la République Centrafricaine est d’organiser des élections dans un climat apaisé et normal, des élections crédibles et transparentes afin de consolider la paix, les institutions et la gouvernance démocratique dans le pays.
Dans le cadre du nouveau partenariat, le représentant a indiqué que la première priorité c’est d’aider la République Centrafricaine à consolider la paix, à améliorer les conditions de vie du peuple centrafricain, en développant le capital humain et la connectivité pour renforcer la stabilité, l’inclusion et la résilience.
Selon lui, l’autre priorité, c’est l’autonomisation des femmes et le développement du numérique dans un pays où il n’y a pas beaucoup de connectivités.
Le représentant de la BM a expliqué que son institution a deux types de projet, notamment un projet d’investissement qui consiste à construire des écoles et des routes et l’autre type de projet est orienté pour appuyer le budget du gouvernement et l’autorise à effectuer ses dépenses.
En ce qui concerne la redynamisation du secteur privé centrafricain, Han Fraeters a souhaité que le gouvernement et le secteur privé s’organisent à créer des organismes et se mettre autour d’une table pour avoir une vision commune afin de développer ledit secteur équitable au bénéfice de la population centrafricaine.
Il convient de rappeler que le 22 septembre dernier, la Banque mondiale a octroyé 50 millions de dollar américain, afin d’aider le gouvernement centrafricain à mettre en œuvre des réformes structurelles visant à renforcer l’inclusion sociale et la gestion budgétaire.
Le responsable de la Banque mondiale a indiqué les 400 milliards de FCFA sont destinées pour la formation sanitaire à Bangui, à la construction et à la réhabilitation des centaines d’écoles dans le pays dans les prochains mois, et le projet « Londo » qui est financé par la même institution.
Han Fraeters a relevé que le premier défi de la République Centrafricaine est d’organiser des élections dans un climat apaisé et normal, des élections crédibles et transparentes afin de consolider la paix, les institutions et la gouvernance démocratique dans le pays.
Dans le cadre du nouveau partenariat, le représentant a indiqué que la première priorité c’est d’aider la République Centrafricaine à consolider la paix, à améliorer les conditions de vie du peuple centrafricain, en développant le capital humain et la connectivité pour renforcer la stabilité, l’inclusion et la résilience.
Selon lui, l’autre priorité, c’est l’autonomisation des femmes et le développement du numérique dans un pays où il n’y a pas beaucoup de connectivités.
Le représentant de la BM a expliqué que son institution a deux types de projet, notamment un projet d’investissement qui consiste à construire des écoles et des routes et l’autre type de projet est orienté pour appuyer le budget du gouvernement et l’autorise à effectuer ses dépenses.
En ce qui concerne la redynamisation du secteur privé centrafricain, Han Fraeters a souhaité que le gouvernement et le secteur privé s’organisent à créer des organismes et se mettre autour d’une table pour avoir une vision commune afin de développer ledit secteur équitable au bénéfice de la population centrafricaine.
Il convient de rappeler que le 22 septembre dernier, la Banque mondiale a octroyé 50 millions de dollar américain, afin d’aider le gouvernement centrafricain à mettre en œuvre des réformes structurelles visant à renforcer l’inclusion sociale et la gestion budgétaire.