Organisée par l’UE, cette rencontre vise à mesurer le niveau de la coopération entre cette institution européenne et le gouvernement centrafricain en vue de mettre en perspective cette coopération.
Au sortir de cette réunion, le Ministre d’Etat, Felix Moloua, a précisé que ladite rencontre s’inscrit dans le cadre du dialogue au titre de l’article 18 de l’Accord de Cotonou, qui est un espace qui permet chaque année d’échanger sur des questions de compréhension dans le cadre de coopération.
Le Ministre a relevé que la République Centrafricaine traverse le moment difficile, et que cette rencontre est une l’opportunité pour le Président Touadéra de répondre à certaines préoccupations pour une meilleure compréhension avec les partenaires.
La diplomate de l’UE, Samuella Issopi, a fait savoir qu’au cours de cette rencontre, son institution est à la veille d’une nouvelle coopération 2021-2027 et cette réunion leur a permis d’aborder certaines préoccupations qui ont déjà été exprimées par l’UE au gouvernement, lors de la dernière mission conjointe UE, Nations Unies, Union Africaine et la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Central (CEEAC).
« Cette rencontre a permis de discuter des questions de désinformation, de violation des droits humains, de la situation humanitaire, de la réforme de la sécurité et le climat politique », a réitéré Samuella Isopi.
L’ambassadrice a souhaité que les prochaines étapes soient essentielles pour aller vers un apaisement, notamment le dialogue républicain, le processus de paix, la mise en œuvre de l’accord politique pour la paix et la réconciliation (APPR) et la priorité du gouvernement pour les prochaines cinq années.
Suivant Samuella Isopi, l’UE va relancer les grands chantiers de réforme structurelle qui sont nécessaires pour la modernisation du développement du pays. Car les Etats membres ont exprimé leur volonté d’accompagner le gouvernement dans cette ambitieuse réforme qui est nécessaire pour le pays.
Selon elle, l’UE a pris en compte le domaine de l’éducation, les ressources humaines, de l’amélioration du climat des affaires, de la bonne gouvernance, de la justice et du genre.
Dans le cadre de suivi de ses engagements mutuels, Mme l’Ambassadeur a annoncé que l’UE va développer avec le nouveau gouvernement, un cadre d’évolution des sujets et des objectifs que son institution s’est fixé.
Rappelons que la 3ème session du dialogue politique Union Européenne et le gouvernement s’inscrit dans le cadre de l’Art 18 de l’Accord de Cotonou qui regroupe l’Union Européenne et les pays d’Afrique Caraïbes Pacifiques (ACP) du 23 juin 2000 au Benin, après l’expiration de la convention de Lomé.
Au sortir de cette réunion, le Ministre d’Etat, Felix Moloua, a précisé que ladite rencontre s’inscrit dans le cadre du dialogue au titre de l’article 18 de l’Accord de Cotonou, qui est un espace qui permet chaque année d’échanger sur des questions de compréhension dans le cadre de coopération.
Le Ministre a relevé que la République Centrafricaine traverse le moment difficile, et que cette rencontre est une l’opportunité pour le Président Touadéra de répondre à certaines préoccupations pour une meilleure compréhension avec les partenaires.
La diplomate de l’UE, Samuella Issopi, a fait savoir qu’au cours de cette rencontre, son institution est à la veille d’une nouvelle coopération 2021-2027 et cette réunion leur a permis d’aborder certaines préoccupations qui ont déjà été exprimées par l’UE au gouvernement, lors de la dernière mission conjointe UE, Nations Unies, Union Africaine et la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Central (CEEAC).
« Cette rencontre a permis de discuter des questions de désinformation, de violation des droits humains, de la situation humanitaire, de la réforme de la sécurité et le climat politique », a réitéré Samuella Isopi.
L’ambassadrice a souhaité que les prochaines étapes soient essentielles pour aller vers un apaisement, notamment le dialogue républicain, le processus de paix, la mise en œuvre de l’accord politique pour la paix et la réconciliation (APPR) et la priorité du gouvernement pour les prochaines cinq années.
Suivant Samuella Isopi, l’UE va relancer les grands chantiers de réforme structurelle qui sont nécessaires pour la modernisation du développement du pays. Car les Etats membres ont exprimé leur volonté d’accompagner le gouvernement dans cette ambitieuse réforme qui est nécessaire pour le pays.
Selon elle, l’UE a pris en compte le domaine de l’éducation, les ressources humaines, de l’amélioration du climat des affaires, de la bonne gouvernance, de la justice et du genre.
Dans le cadre de suivi de ses engagements mutuels, Mme l’Ambassadeur a annoncé que l’UE va développer avec le nouveau gouvernement, un cadre d’évolution des sujets et des objectifs que son institution s’est fixé.
Rappelons que la 3ème session du dialogue politique Union Européenne et le gouvernement s’inscrit dans le cadre de l’Art 18 de l’Accord de Cotonou qui regroupe l’Union Européenne et les pays d’Afrique Caraïbes Pacifiques (ACP) du 23 juin 2000 au Benin, après l’expiration de la convention de Lomé.