POLITIQUE
L’album s’intitule « Hommage aux journalistes" et comporte huit titres : Hommage aux journalistes, Parlement, Déracinement culturel, Démagogie, Destruction stop, Zaraguina, Allez les Fauves et Eternelle réconciliation.
« Quelques cassettes, CD et DVD de publicité arrivent à Bangui le jeudi 10 décembre à bord d’ Air France et la sortie officielle sera programmée plus tard », a-t-il confié.
« Pour un début, mon producteur, M. Yvon Eka, met à la disposition du public 2500 cassettes (puisque les Centrafricains consomment plus de cassettes) , 1500 CD et 100 DVD », a expliqué M. Ngando
Interrogé sur le titre qu’il préfère parmi tous ceux que comporte l'album, M. Ngando répond : « Destruction stop ». Pourquoi ? « Parce que les Centrafricains sont toujours prêts à détruire au moindre événement. Ce qui est construit en dix (10) ans peut être détruit en un jour. Cela ne nous grandit pas. C’est pourquoi je veux prêcher le changement de comportement aux Centrafricains », a-t-il dit.
Né le 04 avril 1986 à Bangui, Hubert Bokoto a dû arrêter ses études en classe de seconde en 2000 pour des raisons de santé (il a un problème de vue) et se consacre à la musique qui l’intéresse depuis l’âge de 8 ans.
Il commence à chanter dans des groupes religieux. En 1997, il est deuxième au concours d’interprétation des chansons d’Agas Zokoko, chef de l’orchestre Tropical Fiesta, organisé à l’Espace Linga Téré, à l’occasion de l’anniversaire de ce dernier.
Il est immédiatement retenu dans ce centre culturel pour une formation en musique et en régie technique avant d’être sollicité par le groupe Tropical Fiesta pour un stage de perfectionnement. Ce stage lui a permis d’intégrer le groupe jusqu’à ce jour.
Avec ces potentialités, il se présente à la troisième édition du concours de la chanson francophone en 2003, où il occupe la deuxième place sur dix finalistes. En 2006, il est encore deuxième au concours « Protégeons notre stade de 20000 places », organisé par le ministère des Sports et l’Union des musiciens de Centrafrique (Umca), avant d’être élu meilleur artiste 2007.
Sur invitation du comité d’organisation du Festival panafricain de musique (Fespam), il participe la même année à Bazzaville, en République du Congo, comme observateur de cet évènement artistique.
Agé de seulement 22 ans aujourd’hui, Hubert Bokoto, alias Ngando, n’a qu’une seule et unique ambition : d’avoir une renommée internationale et contribuer au développement de la musique centrafricaine.
Son rythme est le « Reggae engagé ». « Ce rythme me permet de m’exprimer, de transmettre des messages aux peuples africains. Car l’Afrique est malade. Et il est du devoir des artistes de dénoncer les maux qui la gangrènent. C’est une façon de participer à son développement », explique-t-il.
« Quelques cassettes, CD et DVD de publicité arrivent à Bangui le jeudi 10 décembre à bord d’ Air France et la sortie officielle sera programmée plus tard », a-t-il confié.
« Pour un début, mon producteur, M. Yvon Eka, met à la disposition du public 2500 cassettes (puisque les Centrafricains consomment plus de cassettes) , 1500 CD et 100 DVD », a expliqué M. Ngando
Interrogé sur le titre qu’il préfère parmi tous ceux que comporte l'album, M. Ngando répond : « Destruction stop ». Pourquoi ? « Parce que les Centrafricains sont toujours prêts à détruire au moindre événement. Ce qui est construit en dix (10) ans peut être détruit en un jour. Cela ne nous grandit pas. C’est pourquoi je veux prêcher le changement de comportement aux Centrafricains », a-t-il dit.
Né le 04 avril 1986 à Bangui, Hubert Bokoto a dû arrêter ses études en classe de seconde en 2000 pour des raisons de santé (il a un problème de vue) et se consacre à la musique qui l’intéresse depuis l’âge de 8 ans.
Il commence à chanter dans des groupes religieux. En 1997, il est deuxième au concours d’interprétation des chansons d’Agas Zokoko, chef de l’orchestre Tropical Fiesta, organisé à l’Espace Linga Téré, à l’occasion de l’anniversaire de ce dernier.
Il est immédiatement retenu dans ce centre culturel pour une formation en musique et en régie technique avant d’être sollicité par le groupe Tropical Fiesta pour un stage de perfectionnement. Ce stage lui a permis d’intégrer le groupe jusqu’à ce jour.
Avec ces potentialités, il se présente à la troisième édition du concours de la chanson francophone en 2003, où il occupe la deuxième place sur dix finalistes. En 2006, il est encore deuxième au concours « Protégeons notre stade de 20000 places », organisé par le ministère des Sports et l’Union des musiciens de Centrafrique (Umca), avant d’être élu meilleur artiste 2007.
Sur invitation du comité d’organisation du Festival panafricain de musique (Fespam), il participe la même année à Bazzaville, en République du Congo, comme observateur de cet évènement artistique.
Agé de seulement 22 ans aujourd’hui, Hubert Bokoto, alias Ngando, n’a qu’une seule et unique ambition : d’avoir une renommée internationale et contribuer au développement de la musique centrafricaine.
Son rythme est le « Reggae engagé ». « Ce rythme me permet de m’exprimer, de transmettre des messages aux peuples africains. Car l’Afrique est malade. Et il est du devoir des artistes de dénoncer les maux qui la gangrènent. C’est une façon de participer à son développement », explique-t-il.
