Les festivités marquant le 52ème anniversaire de la disparition de Barthélemy Boganda ont été caractérisées par l’allumage de la flamme, le dépôt de gerbe de fleurs au mausolée de l’illustre disparu, la sonnerie aux morts, l’entonnement de l’hymne national et le grand défilé funèbre.
Le défilé dédié à Barthélemy Boganda a connu la participation, entre autres, des forces de défense et de sécurité ; les scolaires (de la maternelle au lycée de Bérèngo en passant par les élèves des établissements du fondamental I de Bobangui) ; les associations civiles et politiques ; les organisations des sociétés forestières, dont l’IFB (Industrie Forestière de Batalimo).
Le Général Xavier Sylvestre Yangongo, interrogé par rapport à la signification de cette journée, a estimé qu'il « ne s'agit pas d'une journée de deuil mais de joie. Car, le peuple centrafricain tout entier, selon lui, reste attaché à la personne de Boganda, un homme qui a sacrifié sa vie pour la nation ». Autrement dit, a soutenu Yangongo, « Boganda n'appartient plus à sa famille mais plutôt au peuple centrafricain ».
Aussi, le Général Xavier Sylvestre Yangongo a parlé de Boganda comme étant « un visionnaire, un homme qui a de l'avance dans sa vision des choses depuis 1946 ».
Pour expliquer la mort de Boganda, le Général Xavier Sylvestre Yangongo renvoie « aux historiens, pour qu’ils fassent sérieusement leur travail ».
A titre de rappel, Barthélemy Boganda, né le 10 avril 1910 a été recueilli par le père Herriau, missionnaire français résidant à Bétou en République du Congo (Brazzaville). Ordonné prête le 17 mars 1938, Barthélemy Boganda est successivement devenu homme politique, d’abord député, maire de Bangui puis président du Grand Conseil de l'Afrique Equatoriale Française. Barthélemy Boganda avait à cœur « le projet des Etats-Unis d'Afrique centrale ».
Barthélemy Boganda a péri à la suite d’un crash d’avion le 29 mars 1959 au village Boganda dans une aire de chasse aujourd’hui devenu la sous-préfecture de Boganda.
Après Bobangui, le Président de la République François Bozizé s’est rendu à Bérèngo où il a déposé une gerbe de fleurs sur la tombe de l’ancien Empereur Jean-Bedel Bokassa 1er.
Le défilé dédié à Barthélemy Boganda a connu la participation, entre autres, des forces de défense et de sécurité ; les scolaires (de la maternelle au lycée de Bérèngo en passant par les élèves des établissements du fondamental I de Bobangui) ; les associations civiles et politiques ; les organisations des sociétés forestières, dont l’IFB (Industrie Forestière de Batalimo).
Le Général Xavier Sylvestre Yangongo, interrogé par rapport à la signification de cette journée, a estimé qu'il « ne s'agit pas d'une journée de deuil mais de joie. Car, le peuple centrafricain tout entier, selon lui, reste attaché à la personne de Boganda, un homme qui a sacrifié sa vie pour la nation ». Autrement dit, a soutenu Yangongo, « Boganda n'appartient plus à sa famille mais plutôt au peuple centrafricain ».
Aussi, le Général Xavier Sylvestre Yangongo a parlé de Boganda comme étant « un visionnaire, un homme qui a de l'avance dans sa vision des choses depuis 1946 ».
Pour expliquer la mort de Boganda, le Général Xavier Sylvestre Yangongo renvoie « aux historiens, pour qu’ils fassent sérieusement leur travail ».
A titre de rappel, Barthélemy Boganda, né le 10 avril 1910 a été recueilli par le père Herriau, missionnaire français résidant à Bétou en République du Congo (Brazzaville). Ordonné prête le 17 mars 1938, Barthélemy Boganda est successivement devenu homme politique, d’abord député, maire de Bangui puis président du Grand Conseil de l'Afrique Equatoriale Française. Barthélemy Boganda avait à cœur « le projet des Etats-Unis d'Afrique centrale ».
Barthélemy Boganda a péri à la suite d’un crash d’avion le 29 mars 1959 au village Boganda dans une aire de chasse aujourd’hui devenu la sous-préfecture de Boganda.
Après Bobangui, le Président de la République François Bozizé s’est rendu à Bérèngo où il a déposé une gerbe de fleurs sur la tombe de l’ancien Empereur Jean-Bedel Bokassa 1er.