Ce séminaire a pour but de relancer les activités en matière de la sécurité sanitaire des aliments et de la prise en charge sur le compte du budget national de la participation les experts centrafricains aux réunions du Codex alimentarius.
Le ministre Mathieu Ngobou a envisagé l’intégration des normes codex alimentarius dans le cadre législatif et réglementaire centrafricain en vue de protéger la santé des consommateurs. Car, selon lui, l’analyse des différentes causes de décès en République Centrafricaine démontre à suffisance que plus de 80 pour cent sont dus à l’état sanitaire des aliments vendus et consommés par la population.
Pour la représentante de FAO, Mme Rokaya Falldaba, le projet d’ « Appui au renforcement des capacités des comités nationaux et point de contact du codex Alimentarius pour les trois pays de l’Afrique Centrale : Cameroun, Gabon et la RCA », s’inscrit dans le cadre de l’amélioration de la production, de la transformation et des flux de cammmercialisation des produits agricoles à l’intérieur et l’exportation.
Par ailleurs, sa mise en œuvre vise à combler les insuffisances des comités nationaux du codex Alimentarius constaté par la coordination du comité du Codex-Africa notamment : la mauvaise organisation des structures Codex existantes, qui ne favorise pas une veritable mobilisation et l’implication de toutes les parties concernées au niveau national ; une prise en charge insuffisante des moyens nécessaires au fonctionnement pérenne des Comités nationaux des codex et à la mise en œuvre de leur programme d’activités ; et enfin, le manque de compétences disponible au niveau des ressources humaines.
Elle a souhaité que la République Centrafricaine capitalise les acquis du projet en vue d’améliorer le cadre de vie de sa population, les plus vulnérable notamment les femmes et les enfants en leur garantissant une alimentation saine et des revenus substantiels grâce à l’harmonisation du marché des produits agropastoraux.
Le ministre Mathieu Ngobou a envisagé l’intégration des normes codex alimentarius dans le cadre législatif et réglementaire centrafricain en vue de protéger la santé des consommateurs. Car, selon lui, l’analyse des différentes causes de décès en République Centrafricaine démontre à suffisance que plus de 80 pour cent sont dus à l’état sanitaire des aliments vendus et consommés par la population.
Pour la représentante de FAO, Mme Rokaya Falldaba, le projet d’ « Appui au renforcement des capacités des comités nationaux et point de contact du codex Alimentarius pour les trois pays de l’Afrique Centrale : Cameroun, Gabon et la RCA », s’inscrit dans le cadre de l’amélioration de la production, de la transformation et des flux de cammmercialisation des produits agricoles à l’intérieur et l’exportation.
Par ailleurs, sa mise en œuvre vise à combler les insuffisances des comités nationaux du codex Alimentarius constaté par la coordination du comité du Codex-Africa notamment : la mauvaise organisation des structures Codex existantes, qui ne favorise pas une veritable mobilisation et l’implication de toutes les parties concernées au niveau national ; une prise en charge insuffisante des moyens nécessaires au fonctionnement pérenne des Comités nationaux des codex et à la mise en œuvre de leur programme d’activités ; et enfin, le manque de compétences disponible au niveau des ressources humaines.
Elle a souhaité que la République Centrafricaine capitalise les acquis du projet en vue d’améliorer le cadre de vie de sa population, les plus vulnérable notamment les femmes et les enfants en leur garantissant une alimentation saine et des revenus substantiels grâce à l’harmonisation du marché des produits agropastoraux.