Organisée par le ministère de l’Environnement et de l’Ecologie en partenariat avec le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), cette marche a pour objectif de susciter des actions écologiques positives afin d’attirer l’attention du public sur les problèmes environnementaux.
Pour le Directeur général de l’Ecologie et de la Prévention des Risques, Jean Claude Bomba : « C’est une occasion qui est donnée à chaque pays des Nations Unies pour sensibiliser le public et les décideurs sur les questions concernant l’environnement. Ces questions concernant des sachets plastiques font l’objet d’un intérêt particulier pour le ministère, nous avons déjà réfléchi, dans les jours avenir les textes seront pris pour légiférer ce secteur ».
Il a fait savoir que si on veut assurer durablement la réduction de la pauvreté, la sécurité alimentaire, nutritionnelle et un travail décent aux populations toujours plus nombreuses, il faudra faire un meilleur usage possible du patrimoine naturel.
Ont pris part à cette randonnée, les représentants des ONG œuvrant dans le cadre de la nature, le personnel du ministère de l’Environnement et de l’Ecologie, le personnel du système des Nations Unies dont le représentant de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le Dr. Zakaria Maïga.
Entre temps, le représentant résident du PNUD Bo-Schack, a expliqué que : « même si on est de plus en plus conscient dans le monde entier des dangers liés à la dégradation de l’environnement, notamment le changement climatique, l’appauvrissement de la diversité biologique et la désertification, les progrès ont été trop lents depuis la tenue du Sommet planète Terre ».
« Nous ne pourrons construire un monde juste et équitable que lorsque nous accordons un poids égal aux trois composantes du développement durable, à savoir les composantes sociale, économique et environnementale » a-t-il ajouté.
Il faut rappeler que la journée mondiale de l’environnement a été célébrée pour la première fois en 1972, et s’est développée avec le temps pour devenir l’un des principaux moyens de communication des Nations unies destiné à stimuler la conscience environnementale mondiale et à encourager l’action politique des pays membres.
Pour le Directeur général de l’Ecologie et de la Prévention des Risques, Jean Claude Bomba : « C’est une occasion qui est donnée à chaque pays des Nations Unies pour sensibiliser le public et les décideurs sur les questions concernant l’environnement. Ces questions concernant des sachets plastiques font l’objet d’un intérêt particulier pour le ministère, nous avons déjà réfléchi, dans les jours avenir les textes seront pris pour légiférer ce secteur ».
Il a fait savoir que si on veut assurer durablement la réduction de la pauvreté, la sécurité alimentaire, nutritionnelle et un travail décent aux populations toujours plus nombreuses, il faudra faire un meilleur usage possible du patrimoine naturel.
Ont pris part à cette randonnée, les représentants des ONG œuvrant dans le cadre de la nature, le personnel du ministère de l’Environnement et de l’Ecologie, le personnel du système des Nations Unies dont le représentant de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le Dr. Zakaria Maïga.
Entre temps, le représentant résident du PNUD Bo-Schack, a expliqué que : « même si on est de plus en plus conscient dans le monde entier des dangers liés à la dégradation de l’environnement, notamment le changement climatique, l’appauvrissement de la diversité biologique et la désertification, les progrès ont été trop lents depuis la tenue du Sommet planète Terre ».
« Nous ne pourrons construire un monde juste et équitable que lorsque nous accordons un poids égal aux trois composantes du développement durable, à savoir les composantes sociale, économique et environnementale » a-t-il ajouté.
Il faut rappeler que la journée mondiale de l’environnement a été célébrée pour la première fois en 1972, et s’est développée avec le temps pour devenir l’un des principaux moyens de communication des Nations unies destiné à stimuler la conscience environnementale mondiale et à encourager l’action politique des pays membres.