Centrafrique/Médias :
Selon le président du Groupement interprofessionnel de Centrafrique (Gica), M. Patrick Dejean, également Directeur général de la société centrafricaine de cigarette (Socacig), « cette formation a pour but de pallier les carences dont souffrent les journalistes centrafricains sur les questions économiques ».
« Au moment où la République Centrafricaine s’engage dans la réforme de son économie, a-t-il souligné, les médias ont le devoir d’informer l’opinion nationale et internationale de façon précise et objective » car ils ont un rôle très important à jouer, a-t-il déclaré, précisant qu’à l’issue de cette formation, les journalistes centrafricains seront en mesure de faire des enquêtes et des analyses bien fondées.
Le ministre d’Etat à la communication, M. Abdou Karim Méckassoua, a pour sa part déclaré que la presse centrafricaine privilégie souvent les informations politiques, au détriment des informations économiques, alors que « parler de l’économie, c’est parler du développement ».
Il a également déploré le fait que la presse donne parfois des informations erronées, avant de souhaiter que cette formation permette aux journalistes centrafricains de promouvoir la culture économique, et au demeurant la culture démocratique.
Créée en 2001, le Gica est une association des « grandes entreprises » de Centrafrique ayant pour but de défendre les intérêts du patronat privé. Il représente le secteur privé dans les négociations avec le gouvernement. Le Gica a pour partenaires l’Agence française de développement (Afd), la Coopération française, la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (Fmi).
L’atelier qui a démarré ses travaux mercredi 18 octobre 2006, prendra fin le 27 septembre prochain dans l’enceinte du Gica.
Selon le président du Groupement interprofessionnel de Centrafrique (Gica), M. Patrick Dejean, également Directeur général de la société centrafricaine de cigarette (Socacig), « cette formation a pour but de pallier les carences dont souffrent les journalistes centrafricains sur les questions économiques ».
« Au moment où la République Centrafricaine s’engage dans la réforme de son économie, a-t-il souligné, les médias ont le devoir d’informer l’opinion nationale et internationale de façon précise et objective » car ils ont un rôle très important à jouer, a-t-il déclaré, précisant qu’à l’issue de cette formation, les journalistes centrafricains seront en mesure de faire des enquêtes et des analyses bien fondées.
Le ministre d’Etat à la communication, M. Abdou Karim Méckassoua, a pour sa part déclaré que la presse centrafricaine privilégie souvent les informations politiques, au détriment des informations économiques, alors que « parler de l’économie, c’est parler du développement ».
Il a également déploré le fait que la presse donne parfois des informations erronées, avant de souhaiter que cette formation permette aux journalistes centrafricains de promouvoir la culture économique, et au demeurant la culture démocratique.
Créée en 2001, le Gica est une association des « grandes entreprises » de Centrafrique ayant pour but de défendre les intérêts du patronat privé. Il représente le secteur privé dans les négociations avec le gouvernement. Le Gica a pour partenaires l’Agence française de développement (Afd), la Coopération française, la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (Fmi).
L’atelier qui a démarré ses travaux mercredi 18 octobre 2006, prendra fin le 27 septembre prochain dans l’enceinte du Gica.