"Aujourd'hui il a visité un centre de distribution d'aide alimentaire et non-alimentaire à Lubero Sud, organisé par le mécanisme de Réaction rapide aux déplacements de population, un mécanisme géré par l'OCHA et le Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF)", a déclaré M. Nesirky lors d'un point presse quotidien, "cette distribution touche environ 6.500 personnes".
M. Ging a fait l'éloge de ce système de distribution innovant qui donne aux habitants davantage de choix et respecte leur dignité, a indiqué le porte-parole, ajoutant qu'il "doit aussi rencontrer les partenaires humanitaires, et le chef de la Mission de l'ONU au Nord-Kivu".
Les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, dans l'est de la RDC, ont été récemment le théâtre d'une recrudescence des combats entre les troupes gouvernementales et la force rebelle appelée Mouvement du 23 mars (M23). Le Sud-Kivu abrite la plus forte population de personnes déplacées, soit 800.000 déplacés, tandis que le Nord- Kivu compte le nombre le plus élevé de nouveaux déplacés, a indiqué l'OCHA.
L'insécurité causée par le M23 ces dernières semaines est considérée comme la principale cause de ces nombres très élevés de déplacés. Le M23, composé par une faction séparatiste de soldats de l'armée nationale de RDC, s'est emparée de sept villes dans la province du Nord-Kivu plus tôt cette année, et a intensifié ses attaques contre des écoles, des hôpitaux, des maisons et d'autres cibles civiles.
Les agences de l'ONU et ONG approvisionnent des milliers de personnes en eau, en nourriture, et en services de santé, de protection, d'éducation et d'autres services d'aide dans tout le pays, notamment dans la région est.
Toutefois, ces opérations d'aide se heurtent aux contraintes de
financement, qui constituent une difficulté majeure, a indiqué l'OCHA. Un appel à financement du plan d'action humanitaire pour la RDC n'a réussi à collecter qu'un peu moins de la moitié des 791 millions de dollars demandés.
M. Ging a fait l'éloge de ce système de distribution innovant qui donne aux habitants davantage de choix et respecte leur dignité, a indiqué le porte-parole, ajoutant qu'il "doit aussi rencontrer les partenaires humanitaires, et le chef de la Mission de l'ONU au Nord-Kivu".
Les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, dans l'est de la RDC, ont été récemment le théâtre d'une recrudescence des combats entre les troupes gouvernementales et la force rebelle appelée Mouvement du 23 mars (M23). Le Sud-Kivu abrite la plus forte population de personnes déplacées, soit 800.000 déplacés, tandis que le Nord- Kivu compte le nombre le plus élevé de nouveaux déplacés, a indiqué l'OCHA.
L'insécurité causée par le M23 ces dernières semaines est considérée comme la principale cause de ces nombres très élevés de déplacés. Le M23, composé par une faction séparatiste de soldats de l'armée nationale de RDC, s'est emparée de sept villes dans la province du Nord-Kivu plus tôt cette année, et a intensifié ses attaques contre des écoles, des hôpitaux, des maisons et d'autres cibles civiles.
Les agences de l'ONU et ONG approvisionnent des milliers de personnes en eau, en nourriture, et en services de santé, de protection, d'éducation et d'autres services d'aide dans tout le pays, notamment dans la région est.
Toutefois, ces opérations d'aide se heurtent aux contraintes de
financement, qui constituent une difficulté majeure, a indiqué l'OCHA. Un appel à financement du plan d'action humanitaire pour la RDC n'a réussi à collecter qu'un peu moins de la moitié des 791 millions de dollars demandés.