Ce code de bonne conduite des journalistes permettra aux professionnels des médias centrafricains de se doter d’un instrument juridique, contenant des dispositions et des règles de déontologie qui doivent désormais guider le comportement des journalistes dans l’exercice de leur métier en période électorale en vue de préserver la paix.
Le texte en son article 4, oblige les journalistes à présenter de façon impartiale et objective les partis politiques, les candidats et leurs programmes en vue d’éclairer le choix des électeurs.
Egalement l’article 6 oblige les journalistes à connaitre et respecter les dispositions des textes législatifs et réglementaires notamment celle relatives à l’accès des candidats et partis politiques aux médias publics et privés, l’ouverture et à la clôture de la campagne électorale, le déroulement des scrutins et la proclamation des résultats.
« La République Centrafricaine vient d’amorcer la dernière ligne droite du processus électoral avec la publication de la liste des électeurs », a souligné José Richard Pouambi.
Pour lui, « la liberté de presse exclut la liberté de diffamer, ajoutant que la période électorale est caractérisée par des tensions ».
« Cette activité est une occasion de lancer un signal fort aux autorités, aux hommes politiques et aux groupes armés, que les journalistes doivent être protégés », a estimé pour sa part le Président du Haut Conseil de la Communication.
Il a saisi cette occasion pour inviter les journalistes centrafricains à observer scrupuleusement les règles éditées dans ce code de bonne conduite des journalistes.
Il faut noter que le premier tour des élections groupées aura lieu le 27 décembre 2020 en République Centrafricaine.
Le texte en son article 4, oblige les journalistes à présenter de façon impartiale et objective les partis politiques, les candidats et leurs programmes en vue d’éclairer le choix des électeurs.
Egalement l’article 6 oblige les journalistes à connaitre et respecter les dispositions des textes législatifs et réglementaires notamment celle relatives à l’accès des candidats et partis politiques aux médias publics et privés, l’ouverture et à la clôture de la campagne électorale, le déroulement des scrutins et la proclamation des résultats.
« La République Centrafricaine vient d’amorcer la dernière ligne droite du processus électoral avec la publication de la liste des électeurs », a souligné José Richard Pouambi.
Pour lui, « la liberté de presse exclut la liberté de diffamer, ajoutant que la période électorale est caractérisée par des tensions ».
« Cette activité est une occasion de lancer un signal fort aux autorités, aux hommes politiques et aux groupes armés, que les journalistes doivent être protégés », a estimé pour sa part le Président du Haut Conseil de la Communication.
Il a saisi cette occasion pour inviter les journalistes centrafricains à observer scrupuleusement les règles éditées dans ce code de bonne conduite des journalistes.
Il faut noter que le premier tour des élections groupées aura lieu le 27 décembre 2020 en République Centrafricaine.