La police centrafricaine (ph. Vonou/Acap)
S’exprimant lors d’une cérémonie de remise de diplômes à des jeunes recrues de la police, le général Cissé a expliqué que ce statut spécial « permettrait à la police de maîtriser ses recrutements, la formation initiale de ses personnels, leur gestion et leur planification ».
Selon lui, des remèdes urgents sont nécessaire pour la police centrafricaine qui souffre de maux tels que « le dénuement matériel et infrastructurel, le vieillissement des agents, l’insuffisance numérique des personnels et leur besoin en formation permanente ».
Le traitement de ces maux, a poursuivi le général Cissé, nécessite « une action vigoureuse de l’Etat appuyé par la communauté internationale pour que la sécurisation progressive accompagne efficacement et salutairement le sursaut économique et social du pays ».
Il a ajouté qu’en Centrafrique où « la stabilité politique et démocratique s’installent progressivement » en dépit des soubresauts observés récemment, « la Communauté internationale reprend ses investissements et s’intéressent particulièrement à la réforme du secteur de la sécurité ».
Le plaidoyer du Représentant spécial de l’Onu en Centrafrique intervient 48 heures après de violentes manifestations qui ont suivi la mort de deux hommes abattus par des éléments de l’Office central de répression du banditisme (Ocrb) dans des circonstances non encore élucidées.
Signalons que cette cérémonie de remise de diplômes à l’Ecole Nationale de Police marque la fin d’une série de stages organisés en 2006 par le ministère de l’Intérieur chargé de la Sécurité Publique avec l’appui financier du Bureau de l’Organisation des Nations Unies en Centrafrique (Bonuca).
Les stages, qui portaient sur les techniques d’enquête, la déontologie et l’éthique professionnelle, ont concerné entre autres, les officiers de police judiciaire, la Police de l’Air et des frontière, les jeunes diplômés et les gardiens de la paix.
La cérémonie de remise de diplômes s’est déroulée en présence de l’Ambassadeur de Chine en poste à Bangui, M. He siji, des hauts cadres de l’armée centrafricaine et du ministère de l’Intérieur, rappelle-t-on.
Selon lui, des remèdes urgents sont nécessaire pour la police centrafricaine qui souffre de maux tels que « le dénuement matériel et infrastructurel, le vieillissement des agents, l’insuffisance numérique des personnels et leur besoin en formation permanente ».
Le traitement de ces maux, a poursuivi le général Cissé, nécessite « une action vigoureuse de l’Etat appuyé par la communauté internationale pour que la sécurisation progressive accompagne efficacement et salutairement le sursaut économique et social du pays ».
Il a ajouté qu’en Centrafrique où « la stabilité politique et démocratique s’installent progressivement » en dépit des soubresauts observés récemment, « la Communauté internationale reprend ses investissements et s’intéressent particulièrement à la réforme du secteur de la sécurité ».
Le plaidoyer du Représentant spécial de l’Onu en Centrafrique intervient 48 heures après de violentes manifestations qui ont suivi la mort de deux hommes abattus par des éléments de l’Office central de répression du banditisme (Ocrb) dans des circonstances non encore élucidées.
Signalons que cette cérémonie de remise de diplômes à l’Ecole Nationale de Police marque la fin d’une série de stages organisés en 2006 par le ministère de l’Intérieur chargé de la Sécurité Publique avec l’appui financier du Bureau de l’Organisation des Nations Unies en Centrafrique (Bonuca).
Les stages, qui portaient sur les techniques d’enquête, la déontologie et l’éthique professionnelle, ont concerné entre autres, les officiers de police judiciaire, la Police de l’Air et des frontière, les jeunes diplômés et les gardiens de la paix.
La cérémonie de remise de diplômes s’est déroulée en présence de l’Ambassadeur de Chine en poste à Bangui, M. He siji, des hauts cadres de l’armée centrafricaine et du ministère de l’Intérieur, rappelle-t-on.