Il a fait cette déclaration au cours d’une conférence de presse qu’il a donnée, mercredi 28 février 2007 à Bangui, sur la situation synoptique des télécommunications et de nouvelles technologies en Centrafrique.
M. Gouandjika, a à cette occasion annoncé que le code de télécommunication selon le modèle Sénégalais sera soumis à l’Assemblée nationale centrafricaine pour appréciation lors de la première session ordinaire qui s’ouvre le 1er mars de 2007, précisant que la particularité de cette loi, « c’est la revalorisation de licence » et que « cette revalorisation va tenir compte de lourdes investigations des opérateurs déjà consentis ».
Il a expliqué que son département déploie des efforts incessants dans le sens de la promotion des télécommunications en Centrafrique, de sorte que « le téléphone devienne dans les jours à venir, un droit pour les centrafricains ».
Par ailleurs, il a déploré les difficultés de tous genres que rencontre, depuis plus d’une dizaine d’années, la Société centrafricaine de Télécommunications (SOCATEL). Selon le ministre Fidèle Gouandjika, « cette société publique est caractérisée par une mauvaise gestion et une intrusion intempestive », due à certaines relations politiques des anciens régimes.
Le ministre des Postes et télécommunications a expliqué que « la Socatel est aujourd’hui endettée de 12 milliards Fcfa, ce qui représente ses dettes intérieures et extérieures », ajoutant que « la SOCATEL est dans un état comateux », ce qui nécessite un soutien consistant du gouvernement.
Toutefois, le ministre Gouandjika s’est félicité du progrès considérable qu’a enregistré son département durant ses 20 mois de fonction, dans le domaine de la téléphonie mobile et les nouvelles technologies, l’internet en particulier.
M. Gouandjika, a à cette occasion annoncé que le code de télécommunication selon le modèle Sénégalais sera soumis à l’Assemblée nationale centrafricaine pour appréciation lors de la première session ordinaire qui s’ouvre le 1er mars de 2007, précisant que la particularité de cette loi, « c’est la revalorisation de licence » et que « cette revalorisation va tenir compte de lourdes investigations des opérateurs déjà consentis ».
Il a expliqué que son département déploie des efforts incessants dans le sens de la promotion des télécommunications en Centrafrique, de sorte que « le téléphone devienne dans les jours à venir, un droit pour les centrafricains ».
Par ailleurs, il a déploré les difficultés de tous genres que rencontre, depuis plus d’une dizaine d’années, la Société centrafricaine de Télécommunications (SOCATEL). Selon le ministre Fidèle Gouandjika, « cette société publique est caractérisée par une mauvaise gestion et une intrusion intempestive », due à certaines relations politiques des anciens régimes.
Le ministre des Postes et télécommunications a expliqué que « la Socatel est aujourd’hui endettée de 12 milliards Fcfa, ce qui représente ses dettes intérieures et extérieures », ajoutant que « la SOCATEL est dans un état comateux », ce qui nécessite un soutien consistant du gouvernement.
Toutefois, le ministre Gouandjika s’est félicité du progrès considérable qu’a enregistré son département durant ses 20 mois de fonction, dans le domaine de la téléphonie mobile et les nouvelles technologies, l’internet en particulier.