Le porte-parole du gouvernement Maxime Balalou a mis en exergue dans son allocution les enjeux de la participation du chef de l’Etat Faustin Archange Touadéra lors de la 79ème session ordinaire des Nations unies à New York qui s’est déroulée du 22au 26 septembre 2024 et de son discours sur l’appui de la communauté internationale à la République Centrafricaine dans le cadre des élections locales et municipales, la levée de l’embargo sur les armes et sur les diamants à travers le processus Kimberley, l’appel sur le programme national de développement (PND) validé par le gouvernement, la lutte contre le changement climatique ainsi que la question de la création de deux sièges permanents pour l’Afrique au conseil de sécurité des Nations unies.
Il a souligné l’objectif de cette rencontre qui a mobilisé les dirigeants de 193 Etats du monde en s’appesantissant sur le thème qui a été retenu lors de ses assises qui s’intitule :’’ Ne laisser personne de côté : agir ensemble pour la paix, le développement durable et la dignité humaine de la génération présente et future’’.
Il a indiqué que c’est une occasion pour tous les pays du monde en général et la République Centrafricaine en particulier de pouvoir créer une ère d’harmonie parmi les peuples : « Ce thème est d’autant plus d’actualité que de plus en plus il y a plus de prises de conscience au niveau de tous les Etats nantis et moins avancés pour créer une véritable synergie afin de créer un monde plus juste, plus apaisé. Un monde où sera développée beaucoup plus la cohésion, afin de garantir au peuple la possibilité de vivre en paix. »
Le ministre Maxime Balalou a aussi salué les efforts du chef de l’Etat qui a fait lors de cette session des rencontres avec certaines personnalités du monde au sujet de la République Centrafricaine, lesquels sont prometteurs constituant un moyen géostratégique pour un développement imminent et durable.
« Notre président a participé efficacement à cette session, il faut le féliciter aussi. Mais le président a reçu en marge de l’assemblée générale des Nations unies ses homologues, aussi des présidents des institutions internationales ainsi que certaines personnalités. Ils ont échangé beaucoup plus sur la préoccupation qui concerne la République Centrafricaine et l’avenir du monde. », a renchéri le ministre.
En ce qui concerne la question du changement climatique, le membre du gouvernement a fait un constat sur le débordement du fleuve Oubangui, l’inondation de l’ile Mbongossoua. A l’occasion, il a exhorté la population qui occupe les zones marécageuses au niveau du port pétrolier de se déguerpir le plus vite possible avant que la situation ne se dégénère.
Cela va permettre au gouvernement de prendre des dispositions en vue non seulement de viabiliser ces zones d’inondation, mais aussi pour trouver des solutions idoines pour que la population ne soit pas durablement affectée, a dit le ministre.
S’agissant de la question de la formation professionnelle, le ministre Maxime Balalou a rassuré que c’est une préoccupation du gouvernement qui ne ménage aucun effort pour soutenir ce secteur et selon lui, le but c’est de rendre les jeunes déscolarisés et sans emploi autonomes à travers les métiers.
C’est ce qui a abouti à la signature d’une convention de partenariat avec la Banque mondiale d’un montant de 30 millions d’Euros soit à peu près 17 milliards de francs CFA qui permet de favoriser la formation des jeunes dans des métiers.
« Nous sommes revenus sur l’entreprenariat des jeunes et nous pensons que la solution appropriée est d’emmener les jeunes à créer non seulement des initiatives mais à se prendre en charge. Les jeunes doivent devenir leur propre patron et cette expérience, nous pensons maintenant avec l’envie et la volonté des jeunes à travers l’entreprenariat féminin et autres, nous pouvons trouver la solution pour que nos jeunes ne pensent pas que le salut c’est la fonction publique. », A-t-il précisé.
Le ministre Maxime Balalou a enfin signalé que dans le cadre de la lutte contre la criminalité transfrontalière dans la zone CEMAC, une stratégie a été mise en place lors de 24ème forum tenu à Yaoundé pendant trois jours qui a mobilisé les ministres en charge des questions de sécurité en Afrique centrale ainsi que des hauts cadres pour lutter contre ce phénomène et permettre la libre circulation des personnes et des biens dans l’espace CEMAC. Les différents acteurs se sont convenus de mener une croisade collective face à cette criminalité.
Josué Abadjaka / ACAP.
Politique
Revue des points essentiels d’actualité nationale par le ministre Maxime Balalou
Bangui, 30 sept. – (ACAP) – La participation du Président de la République Faustin Archange à la 79ème session de l’assemblée générale des Nations unies, l’impact du changement climatique, la formation professionnelle des jeunes déscolarisés et sans emploi et la stratégie sous régionale de lutte contre la criminalité transfrontalière sont les points abordés par le chef du Département de la Communication et des Médias Maxime Balalou, lors de son point de presse hebdomadaire lundi 30 septembre 2024 à Bangui.
Le porte-parole du gouvernement Maxime Balalou a mis en exergue dans son allocution les enjeux de la participation du chef de l’Etat Faustin Archange Touadéra lors de la 79ème session ordinaire des Nations unies à New York qui s’est déroulée du 22au 26 septembre 2024 et de son discours sur l’appui de la communauté internationale à la République Centrafricaine dans le cadre des élections locales et municipales, la levée de l’embargo sur les armes et sur les diamants à travers le processus Kimberley, l’appel sur le programme national de développement (PND) validé par le gouvernement, la lutte contre le changement climatique ainsi que la question de la création de deux sièges permanents pour l’Afrique au conseil de sécurité des Nations unies.
Il a souligné l’objectif de cette rencontre qui a mobilisé les dirigeants de 193 Etats du monde en s’appesantissant sur le thème qui a été retenu lors de ses assises qui s’intitule :’’ Ne laisser personne de côté : agir ensemble pour la paix, le développement durable et la dignité humaine de la génération présente et future’’.
Il a indiqué que c’est une occasion pour tous les pays du monde en général et la République Centrafricaine en particulier de pouvoir créer une ère d’harmonie parmi les peuples : « Ce thème est d’autant plus d’actualité que de plus en plus il y a plus de prises de conscience au niveau de tous les Etats nantis et moins avancés pour créer une véritable synergie afin de créer un monde plus juste, plus apaisé. Un monde où sera développée beaucoup plus la cohésion, afin de garantir au peuple la possibilité de vivre en paix. »
Le ministre Maxime Balalou a aussi salué les efforts du chef de l’Etat qui a fait lors de cette session des rencontres avec certaines personnalités du monde au sujet de la République Centrafricaine, lesquels sont prometteurs constituant un moyen géostratégique pour un développement imminent et durable.
« Notre président a participé efficacement à cette session, il faut le féliciter aussi. Mais le président a reçu en marge de l’assemblée générale des Nations unies ses homologues, aussi des présidents des institutions internationales ainsi que certaines personnalités. Ils ont échangé beaucoup plus sur la préoccupation qui concerne la République Centrafricaine et l’avenir du monde. », a renchéri le ministre.
En ce qui concerne la question du changement climatique, le membre du gouvernement a fait un constat sur le débordement du fleuve Oubangui, l’inondation de l’ile Mbongossoua. A l’occasion, il a exhorté la population qui occupe les zones marécageuses au niveau du port pétrolier de se déguerpir le plus vite possible avant que la situation ne se dégénère.
Cela va permettre au gouvernement de prendre des dispositions en vue non seulement de viabiliser ces zones d’inondation, mais aussi pour trouver des solutions idoines pour que la population ne soit pas durablement affectée, a dit le ministre.
S’agissant de la question de la formation professionnelle, le ministre Maxime Balalou a rassuré que c’est une préoccupation du gouvernement qui ne ménage aucun effort pour soutenir ce secteur et selon lui, le but c’est de rendre les jeunes déscolarisés et sans emploi autonomes à travers les métiers.
C’est ce qui a abouti à la signature d’une convention de partenariat avec la Banque mondiale d’un montant de 30 millions d’Euros soit à peu près 17 milliards de francs CFA qui permet de favoriser la formation des jeunes dans des métiers.
« Nous sommes revenus sur l’entreprenariat des jeunes et nous pensons que la solution appropriée est d’emmener les jeunes à créer non seulement des initiatives mais à se prendre en charge. Les jeunes doivent devenir leur propre patron et cette expérience, nous pensons maintenant avec l’envie et la volonté des jeunes à travers l’entreprenariat féminin et autres, nous pouvons trouver la solution pour que nos jeunes ne pensent pas que le salut c’est la fonction publique. », A-t-il précisé.
Le ministre Maxime Balalou a enfin signalé que dans le cadre de la lutte contre la criminalité transfrontalière dans la zone CEMAC, une stratégie a été mise en place lors de 24ème forum tenu à Yaoundé pendant trois jours qui a mobilisé les ministres en charge des questions de sécurité en Afrique centrale ainsi que des hauts cadres pour lutter contre ce phénomène et permettre la libre circulation des personnes et des biens dans l’espace CEMAC. Les différents acteurs se sont convenus de mener une croisade collective face à cette criminalité.
.
Il a souligné l’objectif de cette rencontre qui a mobilisé les dirigeants de 193 Etats du monde en s’appesantissant sur le thème qui a été retenu lors de ses assises qui s’intitule :’’ Ne laisser personne de côté : agir ensemble pour la paix, le développement durable et la dignité humaine de la génération présente et future’’.
Il a indiqué que c’est une occasion pour tous les pays du monde en général et la République Centrafricaine en particulier de pouvoir créer une ère d’harmonie parmi les peuples : « Ce thème est d’autant plus d’actualité que de plus en plus il y a plus de prises de conscience au niveau de tous les Etats nantis et moins avancés pour créer une véritable synergie afin de créer un monde plus juste, plus apaisé. Un monde où sera développée beaucoup plus la cohésion, afin de garantir au peuple la possibilité de vivre en paix. »
Le ministre Maxime Balalou a aussi salué les efforts du chef de l’Etat qui a fait lors de cette session des rencontres avec certaines personnalités du monde au sujet de la République Centrafricaine, lesquels sont prometteurs constituant un moyen géostratégique pour un développement imminent et durable.
« Notre président a participé efficacement à cette session, il faut le féliciter aussi. Mais le président a reçu en marge de l’assemblée générale des Nations unies ses homologues, aussi des présidents des institutions internationales ainsi que certaines personnalités. Ils ont échangé beaucoup plus sur la préoccupation qui concerne la République Centrafricaine et l’avenir du monde. », a renchéri le ministre.
En ce qui concerne la question du changement climatique, le membre du gouvernement a fait un constat sur le débordement du fleuve Oubangui, l’inondation de l’ile Mbongossoua. A l’occasion, il a exhorté la population qui occupe les zones marécageuses au niveau du port pétrolier de se déguerpir le plus vite possible avant que la situation ne se dégénère.
Cela va permettre au gouvernement de prendre des dispositions en vue non seulement de viabiliser ces zones d’inondation, mais aussi pour trouver des solutions idoines pour que la population ne soit pas durablement affectée, a dit le ministre.
S’agissant de la question de la formation professionnelle, le ministre Maxime Balalou a rassuré que c’est une préoccupation du gouvernement qui ne ménage aucun effort pour soutenir ce secteur et selon lui, le but c’est de rendre les jeunes déscolarisés et sans emploi autonomes à travers les métiers.
C’est ce qui a abouti à la signature d’une convention de partenariat avec la Banque mondiale d’un montant de 30 millions d’Euros soit à peu près 17 milliards de francs CFA qui permet de favoriser la formation des jeunes dans des métiers.
« Nous sommes revenus sur l’entreprenariat des jeunes et nous pensons que la solution appropriée est d’emmener les jeunes à créer non seulement des initiatives mais à se prendre en charge. Les jeunes doivent devenir leur propre patron et cette expérience, nous pensons maintenant avec l’envie et la volonté des jeunes à travers l’entreprenariat féminin et autres, nous pouvons trouver la solution pour que nos jeunes ne pensent pas que le salut c’est la fonction publique. », A-t-il précisé.
Le ministre Maxime Balalou a enfin signalé que dans le cadre de la lutte contre la criminalité transfrontalière dans la zone CEMAC, une stratégie a été mise en place lors de 24ème forum tenu à Yaoundé pendant trois jours qui a mobilisé les ministres en charge des questions de sécurité en Afrique centrale ainsi que des hauts cadres pour lutter contre ce phénomène et permettre la libre circulation des personnes et des biens dans l’espace CEMAC. Les différents acteurs se sont convenus de mener une croisade collective face à cette criminalité.
Josué Abadjaka / ACAP.
Politique
Revue des points essentiels d’actualité nationale par le ministre Maxime Balalou
Bangui, 30 sept. – (ACAP) – La participation du Président de la République Faustin Archange à la 79ème session de l’assemblée générale des Nations unies, l’impact du changement climatique, la formation professionnelle des jeunes déscolarisés et sans emploi et la stratégie sous régionale de lutte contre la criminalité transfrontalière sont les points abordés par le chef du Département de la Communication et des Médias Maxime Balalou, lors de son point de presse hebdomadaire lundi 30 septembre 2024 à Bangui.
Le porte-parole du gouvernement Maxime Balalou a mis en exergue dans son allocution les enjeux de la participation du chef de l’Etat Faustin Archange Touadéra lors de la 79ème session ordinaire des Nations unies à New York qui s’est déroulée du 22au 26 septembre 2024 et de son discours sur l’appui de la communauté internationale à la République Centrafricaine dans le cadre des élections locales et municipales, la levée de l’embargo sur les armes et sur les diamants à travers le processus Kimberley, l’appel sur le programme national de développement (PND) validé par le gouvernement, la lutte contre le changement climatique ainsi que la question de la création de deux sièges permanents pour l’Afrique au conseil de sécurité des Nations unies.
Il a souligné l’objectif de cette rencontre qui a mobilisé les dirigeants de 193 Etats du monde en s’appesantissant sur le thème qui a été retenu lors de ses assises qui s’intitule :’’ Ne laisser personne de côté : agir ensemble pour la paix, le développement durable et la dignité humaine de la génération présente et future’’.
Il a indiqué que c’est une occasion pour tous les pays du monde en général et la République Centrafricaine en particulier de pouvoir créer une ère d’harmonie parmi les peuples : « Ce thème est d’autant plus d’actualité que de plus en plus il y a plus de prises de conscience au niveau de tous les Etats nantis et moins avancés pour créer une véritable synergie afin de créer un monde plus juste, plus apaisé. Un monde où sera développée beaucoup plus la cohésion, afin de garantir au peuple la possibilité de vivre en paix. »
Le ministre Maxime Balalou a aussi salué les efforts du chef de l’Etat qui a fait lors de cette session des rencontres avec certaines personnalités du monde au sujet de la République Centrafricaine, lesquels sont prometteurs constituant un moyen géostratégique pour un développement imminent et durable.
« Notre président a participé efficacement à cette session, il faut le féliciter aussi. Mais le président a reçu en marge de l’assemblée générale des Nations unies ses homologues, aussi des présidents des institutions internationales ainsi que certaines personnalités. Ils ont échangé beaucoup plus sur la préoccupation qui concerne la République Centrafricaine et l’avenir du monde. », a renchéri le ministre.
En ce qui concerne la question du changement climatique, le membre du gouvernement a fait un constat sur le débordement du fleuve Oubangui, l’inondation de l’ile Mbongossoua. A l’occasion, il a exhorté la population qui occupe les zones marécageuses au niveau du port pétrolier de se déguerpir le plus vite possible avant que la situation ne se dégénère.
Cela va permettre au gouvernement de prendre des dispositions en vue non seulement de viabiliser ces zones d’inondation, mais aussi pour trouver des solutions idoines pour que la population ne soit pas durablement affectée, a dit le ministre.
S’agissant de la question de la formation professionnelle, le ministre Maxime Balalou a rassuré que c’est une préoccupation du gouvernement qui ne ménage aucun effort pour soutenir ce secteur et selon lui, le but c’est de rendre les jeunes déscolarisés et sans emploi autonomes à travers les métiers.
C’est ce qui a abouti à la signature d’une convention de partenariat avec la Banque mondiale d’un montant de 30 millions d’Euros soit à peu près 17 milliards de francs CFA qui permet de favoriser la formation des jeunes dans des métiers.
« Nous sommes revenus sur l’entreprenariat des jeunes et nous pensons que la solution appropriée est d’emmener les jeunes à créer non seulement des initiatives mais à se prendre en charge. Les jeunes doivent devenir leur propre patron et cette expérience, nous pensons maintenant avec l’envie et la volonté des jeunes à travers l’entreprenariat féminin et autres, nous pouvons trouver la solution pour que nos jeunes ne pensent pas que le salut c’est la fonction publique. », A-t-il précisé.
Le ministre Maxime Balalou a enfin signalé que dans le cadre de la lutte contre la criminalité transfrontalière dans la zone CEMAC, une stratégie a été mise en place lors de 24ème forum tenu à Yaoundé pendant trois jours qui a mobilisé les ministres en charge des questions de sécurité en Afrique centrale ainsi que des hauts cadres pour lutter contre ce phénomène et permettre la libre circulation des personnes et des biens dans l’espace CEMAC. Les différents acteurs se sont convenus de mener une croisade collective face à cette criminalité.
.