L’objet de cette rencontre est d’examiner les documents du projet en vue de contribuer efficacement à l’augmentation de la production des produits oléagineux cités, afin de favoriser leur commercialisation et leur exportation.
Selon Edmond Mologodo, Coordonnateur du projet, malgré les conditions agro-écologiques favorables en Centrafrique, l’activité agricole présente encore des performances très faibles. Pour lui, « cela est dû en partie au système archaïque de production qui a pour conséquence la faible productivité et aussi le manque d’accompagnement des producteurs. Il y a également le manque d’identification de circuits de commercialisation, l’absence des semences améliorées, et un faible contrôle de qualité et certification des produits destinés à l’exportation ».
« Dans le cadre de la promotion de diversification, des études dans cette filière ont été menées par l’Agence Centrafricaine de Développement Agricole (ACDA) et les autres structures d’appui. Ces études ont porté sur les filières (sésame, maïs et huile de palme). La production de sésame et maïs couvrent l’ensemble du territoire national. Celle du palmier à huile couvre la partie sud-ouest, le centre sud et le Sud-Est », a-t-il réaffirmé.
M. Mologodo a souligné que le Ministère de l’Agriculture a élaboré une politique de développement du secteur agricole, mettant l’accent sur la nécessité d’améliorer les techniques et systèmes de production des ménages, de diversifier la production et de renforcer la transformation et la commercialisation des produits. Cette option a été confirmée par l’étude sur le potentiel des exportations de la RCA, et le document de la stratégie de Développement Rural, de l’agriculture et de la Sécurité Alimentaire (SDRASA) a été validé par le gouvernement en février 2011, dénommé « Programme National d’Investissement Agricole et de la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle (PNIASAN) ».
Il convient de rappeler que projet va durer deux (2) ans, avec un financement de plus 2 Millions de dollars US.
Selon Edmond Mologodo, Coordonnateur du projet, malgré les conditions agro-écologiques favorables en Centrafrique, l’activité agricole présente encore des performances très faibles. Pour lui, « cela est dû en partie au système archaïque de production qui a pour conséquence la faible productivité et aussi le manque d’accompagnement des producteurs. Il y a également le manque d’identification de circuits de commercialisation, l’absence des semences améliorées, et un faible contrôle de qualité et certification des produits destinés à l’exportation ».
« Dans le cadre de la promotion de diversification, des études dans cette filière ont été menées par l’Agence Centrafricaine de Développement Agricole (ACDA) et les autres structures d’appui. Ces études ont porté sur les filières (sésame, maïs et huile de palme). La production de sésame et maïs couvrent l’ensemble du territoire national. Celle du palmier à huile couvre la partie sud-ouest, le centre sud et le Sud-Est », a-t-il réaffirmé.
M. Mologodo a souligné que le Ministère de l’Agriculture a élaboré une politique de développement du secteur agricole, mettant l’accent sur la nécessité d’améliorer les techniques et systèmes de production des ménages, de diversifier la production et de renforcer la transformation et la commercialisation des produits. Cette option a été confirmée par l’étude sur le potentiel des exportations de la RCA, et le document de la stratégie de Développement Rural, de l’agriculture et de la Sécurité Alimentaire (SDRASA) a été validé par le gouvernement en février 2011, dénommé « Programme National d’Investissement Agricole et de la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle (PNIASAN) ».
Il convient de rappeler que projet va durer deux (2) ans, avec un financement de plus 2 Millions de dollars US.